a. Ls SoNos nm VAux. VIII. NEPTUNE A TRITONS. Vous savez tous l’a. lliance. qui e.st.etr.e, Oror,e et votre Monarque : aUssl ne sms-le point iacne que a autres Divinitez contribuent au plais, r d’un Hros si cMri du Ciel. Je considre sans jalousie toutesr les statuis que Mineme lui a donn&es. Apollon qui s’eit fait A rchitecte aussi bien que moi pour un Roi avaricieux et ingrat, n’a bas eu mauvase raison de se faire Peintre our un Hros trs-reconnaissant et trs-liberal. Je Pne lui envie pas sa fortune, et e’est la seule mulav (ion qui est cause que ie vous assemble. I1 ne faut pas aue vous souffriez que le Palais oh nous soreroes doffne
;, ao,laisir hux veux que cet autre qui le regarde :
’("{ : ; ;’e, i la v ; ritl,’clue les avenu,s de celui--c, Sont si belles ou’il seroit Nen malais d y rien aioter : on cut dire aussi que sa face a }ene sais quoi de grander de noble ; mais les niches u’on y a faites n’{tant encore reinplies que par des rochers tout sees, ie crois que s’il en sortoit de l’eau, eela seroit. un kra.n,d ornemen*. Q.e quelqu’un de.vous y tra.vall[e ; et s il rlussit, }e lui donnerai pour recompense la plus belle des Nereides. (]rand Roi (dt un Triton), qm ar drot d bintag Aez de l’Oclan les vlaines en partage, . tilt qui oulez,dans.raux un em ? irefonder, —’est a ous d obir, ous de comriiander. Rien n ’semble impossible alors qu’ on ut eous ? laire. Pour moi je ous dirai ce que l’ art me suggere. A gatder os irisors des monstres destinez Et par les mains du sort sous ce mont
