244 OPUCULS d ]e veux dlre,.de la Monarchle d Espagne. O..qan il n’auroit reraoort de son rainistere’ que la gloire d’un tel vroiet. i : e seroit encore baucoup : i[ alia plus loin : il’s/it fianager des associations et des ligues cont’e le Colosse u’il vouloit que I’on abatit. II luy donna des attemtes qu, I ebranlerent. raa,s ce desse,n dans la suite n’en rut que plus raalaist il executer ; car la ialousie et la crainte firent tourner cuntre nous ces mraes ames, et ce que nous avlons entrepris.avec I’ayde des nutres Princes, il a falu que Louis [e Grand I’a,t achev raalgr eux. . ’ Aprks la raort de v6tre prera,er Protectcur, vous lu fires succeder un Chancelief’ consorara dans les’ affaires ausq bien que dans les Ioix, araateur des lettres grand personnage, et de qm I espr,t a consent sa rigueur lusques’aux derniers raomens, quelques attaques que lh fortune, qui en eut toiliours aux grands hornrueS, luy eht donnes. ’ Enfin n6tre Prince arais cette Corapagnie en un si haut poinct, que les’personnes les plus levles ti’nnent il honneur d’tre de ce Corps. Moy qui vou.s.en his le remercieraent je n’y puis pamRre sans. vous.falre regreter celuy . qui’ 1 e succede dans cette’ ptace ; norarue dont le nora ne ourrh iaraais, infatigable rainistre oui’ a’mai- t’ ’si Ioh-t’emps’les bonnes graces de son tllaltre : corabien Jiom,eraent-s’.estcil acclu. it.de.to. us les eml1ois qui luy ont t connez ? comb,ca ae true’ lite, d6lumieres, d’exactitude, de Vigi ! anc ? II aymoit les Lettres et les Seavans, et les a favorisez autant qu’il a pfi. ’ .l’en d ro s beaucoup davantage s’il ne rue faloit passer au Ivlonarque.qui nous hunore auiourd’huy de sa protection particuhere : — tout le raonue s ; ait de quel p_oids elle’est. N’a-t-elle pus fai.t. restituer des E.tats dan le’fonds du N oral ds la moindre instance que notre Prince en a faite ? Le n9ra de hoiiis ne tientql pas ,. Pierre Sguler.
