Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/308

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jO 4 LI ? RzS. Fure,n, t lOrtloarez Its Iolaisirs Q9e I on gottea cette soiree. Dt fdiillages touffus la sdne itoit parle, Et d cent flambeaux dclairle : Le Cid en fut fal,ux. Et4n figure-toi Que, lorsqu on air tirl res toiles(E), Tout combattit cl Vaux pour le plaisir du Roi : La musiqu les eaux, les lustres (2), les ttoiles. Les D&orations furerie magnifiques, et cela ne se passa pas sans Musique. On it des Roes s’ouvrir, de Thermes se mouvoir (), Et sur son pd-d’estal tourner mainte figure ; De Enchahteurs pleins de sav6i Firnt rant, pfr leur imposture, ’ Qu on crut qu ils avoient le pouvoir De commander la nature. L’un de ces Enchanteurs est le sieur ToreHi, Magicien expert et faiseur de miracles ; Et Fautre c’est Lebrun, par qui Vaux embelli rdsente aux regardans mille rares spectacles : Lebrun done on admire et l’es rit et la main, ., Pete d’inventto agreabls et belles, Rival &s Raphals, successeur des Aell, Par qi notre climat ne doit rien au omain. Par Favis de ces deux la chose fur reg[te ; D’abord a ye de l’ assemblde Parut un rocher si bien fait, u’on le crut roeher en ffet, Mais insensiblement se changeant en coquillt, IIen sortie une Nymphe genti[le ’ I. Var. Le Cie[ en fur jaloux. Enfin, mon cher Maucroix, Lorsque l’on eat tit6 les toiles. z. Vat. Les flambeaux. 5. Var. On vit le8 rocs s’ouvrir, le8 termes se mouvoir.’