Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/312

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508 LETTRg. retourna donc au Chateau, ot la colation t0it pr par&. Pendant le chemin, tandis qn’on s’entretenoit le ces choses. et lorsau’on ne s’attendoit ulus & rich, on vie en un/noment I Ciel obscurci d’un 6ponyantable nn& de fns&s et de serpentaux. Fant-il dire obscurci on &lair(l) ? Cela partoit de la lante.,rn.e d,u D6me ; ce fur encet endrole que la nu6e creva d aborn. On crut que tons les astres grands et petits ttolent descendus en terre, afin de rendre hommage i Madame ; mais Forage itant cess6, on les vit’.tous en leur place : la catastrophe de ce fracas fur la perte de deux cheYaux. es chevaux qui fadls un earfosse tirerent, Et tirent maititenant la barque de C. aron, Dans les fossez de Vaux tomberent, Et puis de I dans l’Achlron. Ils toient attelez & I’un des carosses de la Reine, et s’tant cabrez, cause du fen et du bruit, il fut imossible de les retenir. Je ne croyois pas que cette feint,on dfit avmr une fin s trag,que et Sl ptoyab e. Adieu. Charge ta m&moire de toutes les belles choses que tu verras au lieu oh tu es. Ce a2 Aofit 66t. LETTRI XII (). A M. DE MAUCROIX. ce samedi marin (septembre 662 Je ne puis te rien dire de ce que tu m’as &fit sur 1. Far. Oe le Cid en fur obscurci, ou clair, si vous voulez. ’ ’2. Publi& pour la premiere fois par . Walckena8r, dans s6n dition de 827 d’aprs un autographe qui lui appar-. renoir. 5- Fouquet fat arrti/t lqantes, le I septembr x662.