L ETTP,.. 327 vousplaira ; ce que ie. vous assure ttre fort vrai est que M. de ChAteauneuf etmoi nous d erinAmes trsbien, et allAmes voit ensuite le logis du Prince. I1 a t bAti plusieurs reprises,. une partie sous’ Fran~ om I, 1 autre sous ouelou un de ses devanmers. I1 v a en face un corps de logns la moderne que feu Monsieur a fait cbmmencer : toutes-ces trois.pices ne font, Dieu-merci, nulle symtrie et n’ont rapport hi convenance l’une aYec l’au’tre ; l’Architecte a evit cela nutant qu’il a pfi. Ce qu’a fait hire Francois I, h le regarder du dehors me contenta plus que tout le reste ; il y a force petites galedes, petites fenttres, petits halcons, petits ornemens sans rgularit et sans brdre ;,cela fait luelque chose de grand qui plait ass,ez. Nous n efimes pas le 1oisir de volt [e dedan ; i e nen regrettai clue la ’chambre oR Monsieur est mort, car je la consldrois comme une relique ; en effet, il n’y a personne qui ne doive avoir une extr&me vnration pour la m6moire de ce Prince. Les peu ! oles de ces [ontres le pleurent encore avec raisot ; ; j{mai rgne ne fur plus doux plus tranquille ni plus heureux que l’a 6t-le sien ; e[ en vri, de semblables Princes devroient naltre un peu plus souvent, ou ne point mourir. 3’eusse aussi’fort’souhait de voit son irdin de plantes, lequel on tenoit pendant sa vie pour le plus parfait qui frit au monde : il ne plut pas/t notre Gocher qui ne se soucia que de djefiner largement puis nous fit partit. — Tant que l/t iourne dura nous emes beau temps beau chemin beau pays : sur-tout la levee ne nous quitta point, ou nous ne quitttmes point la levee ; l’un vaut l’autre. G’est une chausse qu] suit les bords de la Loire, et retient cette rivire dans.son lit : ouvrage qui a cofit bien du temps/t faire, et qui en cofite encore beaucoup/t entretenir. Quant au as, e ne vous en saurois dire assez de merveilles. Point de ces montagnes pelves qui choquent tant notre cher M. de Maucroix ; mais cle part-et d’autre, c6teaux les plus
