Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/378

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< Je crois en veritt que }ene serois janeats arve,nuk’ tl faire une Chanson pour vous, Monsieur, st ]e n avois en vtlg de m’ea att, rer une des v6tres ; vous nee l’avez p.roneise, et vous avez affaire a une personne q.ui est v,ve sur ses inttrgts : songez que j’e vous. assasstnerai ]usqu’a ce que ous m’ayez renu votre parole. De grace, Monsieur, ne ntgligez point une petite Muse qui pourroit parvenir si vous lui ]ettiez un regard favorable.. Ce couplet et cette Lettre, si ce qu’on me neande de Parisestbien r’ ' ’ v a,, n ont pas cofit une dene,-heure a la Deneoiselle, qui q.uelquefois neet de l’aneour dans ses chansons, sanssavolr ce que c’est (u’aneour. Cone_m,e j’ai vfi qu’elle ne nee hisserok poin en repos que je n eusse &nt quelque chose pour elle, ie lui ai envoy les trois Couplets suivans : ’ils sont su le neme a{r. Paule, vous faites joliment Lettres et chansonnettes ; ’ Quelques grains d’amour seulement, Elles serolent parfaites. O,uand ses soins au ceeur sont connus, Une Muse salt plaire. deune Paule, trois aris &plus Font beaucoup l’affaire. Vous parlez quelquefois d’aneour, Paule, sans le ctSnnotre ; Mais j’esp&e vous voit un jour Ce etlt Dieu pour mIttr’e.