Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/385

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l’en demeurerai doric 1. pour e qui regarde la Dame qui vous crivit it y a huit iours. Je reviens . Madame d’Hervart, dont je voudrois bien aussi vous crire quelque chose en vets. Pour cela, il lui faut donner un nom de Parnassel Comme j’y suis [e Parain de plusieurs Belles, ie veux et entens qu’ [’avenit Madame Hervart s’alpelle Silvie dans t6us les domaines que ie possede Zffr I e double Mont et pour commence G C’ est un plaisir de voit Silvie : Mais n’e} grez as ue roes vers F F q. Pagnent rant de charmes divers ; d’en aurois Four toute ma vie. S’il prenoit, quelqu ’un envie D’aimer ce chef-d’beuvre des cieux, Ce quelqu’un fust-il Roy des Cieux, En auroit Four route sa vie. Vostre ame enest encor ravie, J’ en suis seur, et dit qudquefois : Jamais cette beaut divine N’affrnchit un ceur de ses loix. Nostre Intendant de la Marine A beau courir chez les Anglois ; Puis u’ un ois 1 l’ a sere Q.u l azlle et vzenne ses mplms, II en a pour toute sa vie. Que cette ardeur oh nous convie Un objet si rare et si doux, Nesmt de nulle autre suivie, C’est un sort commun Four nous tous ; Mais je m’tonne de l’Foux ; IIen a Four route sa vie. t. I1. de Bonrepaux. (Note de Des Maiseaux dans l’di~ tion de aint-Evrernond.)