Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/415

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'Apis tout, ’l6nsieur 3 c’est bien le mtit/tue je vous doive pour vos presens que de vous en remercier. Vous estes le premier homme du monde pour les ’Chfiteaux’en Espagfie,’t pots q’ue vos verles st —st ageables, je ne m’&onne plus que vous vousyplai ; siez rant. C’est un real qui communique, et i e vous vou qu"en Itsant vre Lettr je n’ay p6 me dfe ’dre d’y ’Ombe ? . . Dis biens-que’m'o’nt donn vos onKe’ J’ay quelque temps abandonM roes sens’ —A.de si doux et si plaisans mensonges.. ’ Dlfa on ’espriG.prvenu, e o riches benfaits regloit le reenu Dfa, ’dressant des quipages, —Jg me donnots iusqu des pages ( t digne Norrissan e I’aise }t u ]ogmeil) Je me lrouvois dtaulres erlu enco ’Venus d’un Abb t que tout autre humain inor Mais enfin en tooins d’un oment, La raison, qhi nbus sert bien tooins g nu cond’ir ’ nous persecurer ’togjon teueltement Est enu m yex dti ’Dufat,jasq’a bndme ) hay pohrafft pas tofft perdu, et de me reste ’une’chose que,j’eime inaimem. C’est plaisir ’deigvo ue ous m voalez ’du bien et qu vous,avez en ’qudtqae ’mantere por moy t’es sentimens que jay pour.Voas. ’J’ay.fi voit otre Lettre x. ’d' ers manque dans les