Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/435

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,4pptty du seuJ droit des armes : Harlay regle d autres debuts, Oh, ]e crois, vous n’excellez pus. Ni la grandeur ni la vaillance Ne font incliner sa balance. Son Elog.e entier iroit loin : .l’ aime mteux gatder avec sofn La Ioy que l’on se doit pre3crire D’estre court, et ne pus tout dire. Pour iviter donc la longueur. Q.ui met les choses en langueur Pontchartrain regle les Finances. i jamais j’ai des Ordonnances, Ce qui n’ e)t pus prest d’arriver II sfaura du tooins me sauver Le chagrin d’une Iongun attente, Et lira d’abord ma Patente. Hornroe n’est plus expeditif, 3Iieux instruit, ni plus inv. entf Tale,ns aujourd’hui necessatres. La Briffe est charel des affaires Du Public et du ouverain. Au gr de tous il sot enfin Debrouiller ce cahos de dettes CQF’un maudit Compteur avoit faites. e n’est ? as l, le seul essay cQ,ui le rend successear d’Harlay. e poste, avec celui qu’il quitte, Deman’doit un ample roerite Au sujet qu’on a plac lcL Hardy quiconqu le suivra ! Non qu LOU-lS par sa sagesse, Ne puisse en conserver l’ espece ; Tout le bien que j’ay dit d’ autru t Rtombe c juste droit sur lui. Comme j’6tois prest de fermer ma Lettre,’ on a &tit icy de Versailles que le Roy avoit donn6 la qua-