Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/445

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Lgs. 44 l Je n’ en dirai p.as plus ; n6tre Roi n’aime gutres Qu’ on ratsonne sur ces marieres. Voila bien des Quets entassez les uns sur les antres, et une figure bien repet6e ; si faut-il pourtune l’employer encore sur ce qui regarde Monsieur le Duc (,). O_.d Prince ! nohs sfavons,qu’il s’est trouv partout ; Que, dtd, aignant le bruit d u, ne valeur commune, IIs est distingut ]usqu au bout : Que Franccent, dohcceur, Joliboi la Fortune, Grenadiers, gens sans eur, vrais suposts de Cesars, Avec tooins de plaisir s ex ? osent aux hazards. Tel on voit qu’un Lion, Roi de l’ardente plage, De sang et de meurtre altgrg, Porte sur les Chasseurs un regard assurt, Et les fait du peril entrer tous en partage ( ). de chart e encet endroit de stile et de lungage. Ne vous semble-t-d pus que ]e men suts tire Ainsi qu’un Voyageur en des bols Igarl ? II faut reprendre nos brisles. Les Muses ne sont pus sur ce Prince lpuisges. 0.71 plaisir po,u,r celui dont il refltt le ]our ! Le bon senset I esprit, conductcurs du courage, ont d,es CONIEZ enfin l’ordinaire apanage() Moi, j en tiens cent logis, chacun men fart la cour. I1 a dlifi ma veine. Mes sotns en valoint-ils la peine ? I1 ne s’ en faut point ttonner. . Le duc de Bourbon. 2. On lit dans une copie autographe de La Fontaine, circe par . Walckenar : Et se tient tier d’&tre entour De mille marques de carnage. . Dans la copie de La Fontaine : 5ont du sang des CondOs l’ordinaire appanage.