Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/77

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iusques 1/tservie si utilemeut. I1 en tomba sur la cuisse e son poux une goute d’hu le endlaramie. La douleur veilla le Dieu. II vial la pauvre Psich qul, route confuse, renoir sa lampe ; et, ce qui rut de plus malheureux il vld aussl le polgnard t.omb pros de luy. ’ Dispensez-moy de vous raconter le reste : vous serlez touchez de trop de piti au redt que ie vous ferois.

firtlt de Pslch le bonheur et la gloi ?:

Et lcl ,ostre ? Iaisir pourroi ! cesser auss. e u’es pas mort talert d’ache,er une histoire Oi se termlrte ainsi. Ne laissez pas de continner, dit Acante, puisque v.ous nous l’avez promis : peut-estre aurez-vous mieux reiss que vous ne croyez. 03and cela erbit, reprlt Poliphi e, quelle safishcfion aurez-vous. Vous vetfez, souffrir une Belle, et en pleurerez pour peu que i Y contribu. t bien ! reparfit Acante, nous pleurerons. Voila un grand real pour nous ! les Heros de I’antiquit pleuroient bien. 03e cela ne vous empesche pas de continuer. La compassion. a aussi ses charmes. oui ne sont pas moindres oue ceux du rite ; jet ens roesroe qu s sont plus grands, et crms qu Ariste est de mon avis. Soyez s tendre et. si mouvant ue vous voudrez nous ne vous en couterons tous eux que plus volontiers. Et mo, dit Gelaste, que devtendray-le. Dteu m a fait la rYae de me donner des oreilles aussi bien qu’h vous. Qu. and Poliphile les consulteroit, et qu’il ne ferot pas tant le pathetique, la chose.n’e.n.iroit que mieux, veu la manicrc d’crire qu’il a chmsle. . .Le sentiment de Gelaste fur approuv. Et Artsic, qui s’estoit teu jusques 1 diten se tournant vers Poliphile : le voudrois que vous me pO. ssiez attendrir le ceeur par le recit des avantures de vostre