368 LA COUPE ENCHANT?E. ? THiBAUT, Je-vai'v0us amener de la pratique; laissezfaire (i). SCENE VIII. ANSELME, JOSSELIN, BERTRAND. .? ?/SE?.ME. Ah! vraiment, de la Coupe ! j'ai bien d3autres tintofiins dans la t?te. JOSSELINo Q?'avez-vous donc ? ANSELME. J'ai, vfi... Our! ' BERTRAND, Auroit-il vfi ces masques de Femmes ? l?coutons. ' ANSELME? lui donnant un soufilet. Je viens de voit.. O?e fais-tu lb. ? BERTRAND. Rien. ' ANSEI?v.. Va g ta besogne,' et ne revien point qu'on ne t'appelle. �. "' SCENE IX, "ANSELME, J.OSSELIN. ,? NSELME. Je viens de voit mon Fils. Le, pe- tit pendart me fait des questions qui m ont p.e.ns& mettre ['esprit sans'dessus dessous. 11 lui wend des curiositez tofites contrai- res au chemin 'que je veu? qu'il tienne. �JOSSELIN..Ma foi! Monsieu G si vous voulez que ]e vous parle franchement, i[ vous sera bien difficile de l'?lever toujours dans l'ignorance oh vous voulez qu'i[ soit; je crains bien que toutes ces (:) pr&autions ne deviennent inutiles Iet que cette d?mangeaisoh?qui vous tient de [ui voulmr cachet qu'il y a des Femmes au monde ne porte davfinta�on petit genie aux connoissances d?. beau sexe. ANSELME, Et qui l'instruira qu'il y a des femmes ? 1. Var. laissez-moifM?'e.- a, Vat.; vox.
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