clitoris ! & vous n’auriez pas honte de faire de vos engins & de leurs acceſſoires, un uſage auſſi révoltant que funeſte, un uſage qui eût répugné aux Pariſiennes, aux Aſpaſies, aux Meſſalines elles-mêmes ! Ah ! renoncez plutôt à vos inclinations clitoriales ; reprenez le culte des pines, le ſeul digne de vos attraits & de vos charmes : qu’un déluge de ſperme viril, répandu ſur vos cons en guiſe d’eau luſtrale, les lave des impuretés ſans nombre dont ils ſe ſont ſouillés. Appaiſez Priape par ce ſacrifice expiatoire, j’oſe vous promettre que vous déchargerez avec plus de volupté que jamais ; j’oſe vous pronoſtiquer des fouteurs infatigables, du foutre à gogo, & de l’argent, pas beaucoup peut-être, mais des aſſignats plus que vous n’en voudrez : il eſt tant de gens à qui ils ne coûtent rien, qu’ils n’en ſont pas chiches.
Croyez m’en, abandonnez les enfans de Sodôme à leur malheureux ſort, ils ne ſont pas dignes de votre compaſſion : opprobre de la nature qu’ils outragent de toutes les manières, puiſſent-ils être rongés par la criſtalline juſqu’à la moële des os ! Puiſſent mes