Page:La Mettrie - Œuvres philosophiques, éd. de Berlin, Tome second, 1796.djvu/138

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fuîuic ; mus , irJjc ! îaor* anx£ nf fe rcaHOÎc f» : jnos elic-mmu : * qa^lit ve connorcroi : l orzaix q j : lui procure k punir di- fua&ank tnchaittair lit ï MiAc 3 , s’il r«"y avoir aucun miroir nœurel -ou ar :if«ui^ Car quelle itbe £ : forcer de es 4|UOU ne petn ïqmrfemsr-, fâitre d’imams ieniibic ? Jjur imaginer,, ii feut vo ïorer im fond fi : riérarhgr 4c ce fond , par abftrafiion , des points d’une couleur 4jui tu fort différente ; « qui £ fait avec d’autant jD’jiti* de fatigue* quelle cft plus tranchante» cuinmt îorfque j’imagine «des carrés fur un tapis vtrd, Ik’Ià vient que Jtrs aveugles n’imaginent f^lut, ik i/oat pas« comme nous, bdbin dimagination , pour combiner. Delà vient que dois projtto. ,cvu$ £LL$-ce8ê # toue pjbtilofopï^rs que nous Jom-

  • ic$, uut de noms dont nous n’avons aucunt ïd^e ;

cd$ foar ceux de fubliance, de fuppôt, de fujet, (fat’Jlraam,) & autre* fur fefquds on s’accorde

  1. J>t.M # ^«e le* 110$ prennent pour fubflanec, pour

future, are ou effcnce , ce que les antres ne prenne que pour attribut ou mode* JVbix fimper ca-Uim ludinwi* Voilà de quoi mettre Tralles en fijruir.

Quoi qu’il en foit , pour revenir à nos moutons, . plus j’examine ce qui fe pafle dans les animaux, phw je me perfuade qu’ils pourraient bien avoir deux aines ; l’iune, par laquelle ils fentent, l’autre , pur laquelle ils pensent. Ce feroit trop simplifier