mon bien-aimé, qui a été pour le Christ les prémices de l’Asie. — 6Saluez Marie, qui a pris beaucoup de peine pour vous[1]. — 7Saluez Andronique et Junias, mes parents et mes compagnons de captivité, qui jouissent d’une grande considération parmi les apôtres et qui même ont été dans le Christ avant moi[2]. — 8Saluez Amplias, mon bien-aimé dans le Seigneur. — 9Saluez Urbain, notre coopérateur dans le Christ, et Stachys, mon bien-aimé. — 10Saluez Apelle, qui a fait ses preuves dans le Christ. Saluez ceux de la maison d’Aristobule. — 11Saluez Hérodion, mon parent. Saluez ceux de la maison de Narcisse qui sont dans le Seigneur. — 12Saluez Tryphène et Tryphose, qui travaillent dans le Seigneur. Saluez Perside, la bien-aimée qui a beaucoup travaillé dans le Seigneur. — 13Saluez Rufus, distingué dans le Seigneur, et sa mère, qui est aussi la mienne[3]. — 14Saluez Asyncrite, Phlégon, Hermés, Patrobas, Hermas, et les frères qui sont avec eux. — 15Saluez Philologue et Julie, Nérée et sa sœur, ainsi qu’Olympias, et tous les saints qui sont avec eux.
16— Saluez-vous les uns les autres par un saint baiser.
Toutes les Églises du Christ vous saluent.
17Je vous exhorte, mes frères, à prendre garde à ceux qui causent les divisions et les scandales, en s’écartant de l’enseignement que vous avez reçu ; éloignez-vous d’eux. 18Car de tels hommes ne servent point le Christ Notre-Seigneur, mais leur propre ventre, et avec leurs paroles douces et leur langage flatteur, ils séduisent les cœurs des simples[4]. 19Car votre obéissance est arrivée aux oreilles de tous ; je me réjouis donc à votre sujet ; mais je désire que vous soyez prudents pour le bien et simple pour le mal. 20Le Dieu de paix écrasera bientôt Satan sous vos pieds.
Que la grâce de Notre-Seigneur Jésus-Christ soit avec vous ![5]
21Timothée, le compagnon de mes travaux, vous salue, ainsi que Lucius, Jason et Sosipater, mes parents. — 22Je vous salue dans le Seigneur, moi Tertius, qui ai écrit cette lettre. — 23Caïus, mon hôte et celui de l’Église, vous salue. Eraste, le trésorier de la ville, vous salue, ainsi que Quartus, notre frère[6].
24[Que la grâce de Notre-Seigneur Jésus-Christ soit avec vous tous ! Amen ! ][7]
25À celui qui peut vous affermir selon mon Évangile et la prédication de Jésus-Christ, — conformément à la révélation du mystère resté caché durant de longs siècles, 26mais manifesté maintenant, et, selon l’ordre du Dieu éternel, porté par les écrits des prophètes, à la connaissance de toutes les nations pour qu’elles obéissent à la foi, — 27à Dieu, seul sage, soit la gloire par Jésus-Christ aux siècles des siècles ! Amen !
- ↑ Pour vous, ou pour nous, ou parmi vous (Vulg.), selon d’autres leçons. Comp. Luc, viii, 3 ; Jean, xix, 25.
- ↑ Συγγενεις μου peut signifier mes parents ou mes compatriotes, ix, 3. Comme au vers. 11 et 21, ce mot s’applique à diverses personnes dont deux sont de Macédoine, Act. xviii, 5 ; XX, 4, le sens plus large de compatriotes est plus probable.
- ↑ Rufus, probablement le fils de Simon de Cyrène (Marc, xv, 21).
- ↑ Leur ventre, toutes les passions basses (I Tim. vi, 5 ; Tit. i, 11).
- ↑ Entre cette bénédiction et la doxologie (vers. 25 sv.), Paul se trouve amené à ajouter encore quelques salutations.
- ↑ Caius ou Gaius, le même que I Cor. i, 14 ; Paul logeait chez lui.
- ↑ Ce verset, répétition du verset 20, qu’on lit dans le texte reçu, ne se trouve pas à cette place dans les meilleurs manuscrits.