point passer un si grand jour sans en faire la solennité ;
37. Et qu’en conséquence on célébrât le treizième jour du mois, qui en syriaque s’appelle Adar[1], la veille du jour dit le jour de Mardochée.
38. Nicanor étant mort, comme je viens de dire, à partir de ce moment les Hébreux demeurèrent maîtres de la ville, et c’est là aussi que je finirai mon récit.
39. Si dans son arrangement il est utile et agréable, c’est ce que j’ai voulu ; s’il est médiocre et de peu de valeur, la faute en est à moi.
40. Car si l’on se trouve mal de boire du vin pur, si l’on ne se trouve pas mieux de ne boire que de l’eau, tandis qu’il est doux de boire un mélange d’eau et de vin, qui complète le plaisir, de même dans l’histoire c’est l’art et la conduite du récit qui charment les oreilles des auditeurs. C’est donc ici que je termine[2].