Page:La Villemarqué - Dictionnaire français-breton de Le Gonidec, volume 2.djvu/121

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13 Ma né gavil kéd anczhañ, é leûot war ho kiz, lî Ma l’t enn kcr, é leûfé (Thor gwñoul, 1’) Mar gwélil M moéréb, gril vagourc’hémennou d’éxhi, Kléved hoc’h cüs-hu là ha rùed en deüz hù preûr eûz hé gélou^ Me a garfé gouzoud ià hag héñ a zeûid, 15 Kerskuizoann, ma kouézcnn hêpkamed, 15 Kcnn ncc’hcdco, mané uarpéini dauber. LIVRE SECOSD. f)5 Si vous ne le trouvez pas, vous vous en retournerez. S’il était en ville, il viendrait nous voir. Si vous voyez votre tante, vous lui ferez mes compliments. Avtz-vous appris si votre frère a donné de ses nouvelles ? Je voudrais savoir s’il viendra. J’étais si fatigué, que je tombais à chique pas. Il est si inquiet, qu’il ne sait que faire. NoTi. Je ne ferai point de chapitre particulier sur la syntaxe des interjections. Je pense qu’on ne peut, avec exactitude, les appeler parties du discours, puisqu’elles ne sont jamais nécessaires ñ la construction d’une phrase. Dans le fait, ce ne sont pas des mots, mais seulement des sons qui, n’étant assujettis à aucune règle, sont employés uniquement à la volonté de celui qui parle. Cependant, comme on a assigné un rang aux interjections dans presque toutes les grammaires, j’ai donné, dans la première partie, une liste de celles que l’on emploie ordinairement dans la langue bretonne. ( Voyvz le chapitre IV de la première partie. ; LISTE DES VERBES QUI SONT SUIVIS DE PARTICULES. MODE PARTICULE qui suit EXEMPLES. TRADUCTION ( I. NFI. NITIF. LE VERBE. DES EXEMPLES. Askouéza é askouézed eo é klémed. il est retombé malade. da ann li-mañ a z6 d’in, cette maison-ci est à moi. 1 Béza enn kers ann drd-zéa vézô en hô kers, cela vous appartiendra. ’ gant gan va breür héñ e’hasô gañt-/iañ, mon frère l’emportera avec lui. Kâs kasit gan-é-hoc’h, emportez avec vous. da va c’hâs a ra d’ann aluzen, il me réduit à l’aumône. huit mé hô kasô kuit, je vous renverrai. ’

gant 

hé géraéroud a ra gañt-hi, elle le prend avec elle. i gañd kémcred é viol gafid va zdd, vous serez pris par mon père. | Kémérout < gan hô kéméroud a rann gan -en, je vous prends avec moi. i digañt kémérid hen-nez digant-Zia/i, prenez celui-là de lui. ! digañd kéraérid atm drd-zé digañd hô Idd, prenez cela de voire père. ’ k digan kémérid ann drâ-mañ digañ-éñ, prenez ceci de moi. Klemm g and klemm a ra gnñd héboan. il se plaint de son mal. ouc’h komz a rinn ouc’h ho indb, je parlerai à votre fils. oui komzid out-/iañ, parlez-lui. j ou : komz rann ouz-hoc’h, je vous parle. ’ gant komzed em eûz gañt-/ti, j’ai causé avec elle. Komz ^ gaïid komz a rinn gañd hô mamm., je causerai avec votre mère. gan komz a rinn gan-é-hoc’h, je causerai avec vous. eùz komzed ctn ciiz eûz ann drd-zé, j’ai parlé de cela. a konu a rinn a ’nézhañ, je parlerai de lui. ac’h komzed hô deùz ac’h-an-hoc’h, ils ont parlé de vous.

eu : kouézed eo eûz va dourn, il m’est tombé de la main. A ouéza war kouézed eo war ann douar, il est tombé à terre. war küucza a réol war-n-oun, vous tomberez sur moi. é kregi a rézoñl é kemeñd a ioa, ils se saisirent de tout ce qu’il y Kregi avait. i enn ar chléñved a z6 kroged cnn-hañ, la maladie l’a atteint. L’réna

gañd 

kréna a ra gafid aoun, il tremble de peur. Kridi é l da mé a ç ;réd é Doué, je crois eu l>ieu. né gredann kéd li id, je ne te crois pas. Derchel da derchel a rann d’am gér, je tiens à ma parole. ■ eûz derc hel a ra eûz hé mamm, elle tient de sa mère. Disgouézoul da diou loden a zigouéz d’i'n, il me revient deux parts. Diskenn j gand diskonn a ra gand ar mène :, il descend la uionL^giie.

diwar 

diskcnned co diwar varc’h, il est descendu de cheval.