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1779</ref> et le traité de Versailles[1] levèrent toute difficulté à cet égard ; Arguin resta nécessairement lié au pays conquis.
L’île d’Arguin est susceptible de recevoir un établissement de pêcherie. Les Hollandais nous en ont donné l’exemple pendant le temps qu’ils l’ont possédée ; ils surent, malgré sa stérilité, en tirer un parti utile.
On trouve sur les bancs qui l’avoisinent, une espèce de grosses morues[2] propres à être salées ou séchées.
L’île d’Arguin abonde en tortues qui sont très utiles pour les équipages, ainsi que pour les convalescents.
Je ne terminerai pas cette lettre