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Loiseau, ravi.
Ah !
Bourgillon.
Et aujourd’hui Blancminet lui riposte !
Loiseau.
Eh bien, Blancminet est un homme de cœur !…
Bourgillon.
Voyons, Loiseau… pourquoi ne voulez-vous pas épouser sa fille ? (Loiseau bâille. À part.) Encore son estomac !… (Haut.) La petite est gentille… elle a trente-cinq mille francs de dot qui serviraient à payer une partie de votre charge… je vous donnerais du temps pour le reste. (Loiseau bâille. À part.) Quel fichu estomac ! (Haut.) Voyons, répondez.
Loiseau, mettant son pince-nez.
Monsieur Bourgillon… le mariage est un contrat synallagmatique…
Bourgillon, à part.
Il me récite le Code !
Loiseau.
Qui, pour être parfait, demande le consentement des deux parties.
Bourgillon.
Article 146…
Loiseau, continuant.
Les époux doivent être libres… français… et de sexe différent…
Bourgillon.
Eh bien ?