Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 09.djvu/482

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Maurice, s’approchant.

Oui…

Pérugin, le lui faisant admirer.

Tenez… il est bien fait, ce Romain-là… M. Jules trouve qu’il a beaucoup de chic…

Madame Pérugin, bas à son mari.

Ne parle donc pas de Jules ! (Haut.) Lucie !

Lucie, qui vient d’entrer de la gauche.

Maman ?…

Madame Pérugin.

Si tu prenais l’air que tu as commencé… la Rêverie de Rosellenn.

Maurice, à part.

Oh ! les dents m’en claquent !…

Lucie.

Comme tu voudras, maman.

Madame Pérugin.

Asseyez-vous, messieurs…

Les personnages prennent place.

Pérugin, à Duplan.

Vous allez voir, la coda est charmante.

Duplan.

Je la connais… (À part.) Je l’ai assez entendue à Ville-d’Avray…

Lucie joue.

Pérugin, après quelques mesures, à Maurice.

Très bien ! charmant !

Maurice.

Délic