Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 2.djvu/461

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Du grand livre de la nature
Si la lettre, à vos yeux obscure,
Ne le trahit pas en tout lieu,
Ah ! l’homme est le livre suprême !
Dans les fibres de son cœur même
Lisez, mortels : Il est un Dieu !