Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 3.djvu/224

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Deux mille ans sont passés, et l’homme attend encore :
Ah ! remonte à ton Père, ange de l’avenir,
Et dis-lui que le soir a remplacé l’aurore,
Et que le don céleste est trop lent à venir.