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sixième époque.

17 septembre 1797.

J’irai, j’attacherai mon âme aux solitudes,
J’écorcherai mes pieds dans des sentiers plus rudes.
Bénissez-moi, Seigneur ! que mon cœur consumé
Par l’amour, et puni pour avoir trop aimé,
Au foyer de l’autel s’éteigne et se rallume,
Et d’un feu plus céleste en mon sein se consume ;
Mais pour aimer en vous, avec vous et pour vous,
Tous, au lieu d’un seul être, et cet être dans tous !


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