Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 5.djvu/322

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Que le ciel et mon cœur bénissent ta pensée,
Toi qui pleures de loin ce que la mort m’a pris !
Et que par la pitié cette larme versée
Devienne une perle sans prix !
Que l’ange de ton cœur devant Dieu la suspende,
Pour la faire briller de la splendeur des cieux,
Et qu’en larmes de joie un jour il te les rende
Ces pleurs, aumône de tes yeux !