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de la Rose, qui me semble une miette trop rétue pour une jeunesse de campagne, les petiotes de Norine sont capables sur beaucoup de points.

Tandis que ses sœurs mettent leur gloire à regarder cliqueter le feu[1], la Rose met sa gloire à se promener suivie d’un tas de galants.

Si mioche qu’elle ait été, elle a toujours passé pour garçonnière ; mais fût-ce ! comme son oncle Jean-Claude, ce n’est pas la plus bête de chez nous.

À la fin des fins, la maison s’emplit ; les couseuses se placent le plus près possible de la chandelle, les fileuses derrière les couseuses, et les tricoteuses n’importe où. On devise de choses et d’autres, on glose à tort et à travers,

  1. Rester à la maison.