Page:Lange - Histoire du matérialisme, Pommerol, 1877, tome 1.djvu/572

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trouve dans les manuscrits les plus anciens et chez Genthe ; dans les éditions et manuscrits postérieurs, on lit la correction egressus est (il est sorti), ce gallicisme indique un auteur ou un original français.

47 [page 325]. Voir Mosheim, Geschichte der Feinde der christl. Religion, publiée par Winkler, Dresde, 1783, p. 160.

48 [page 325]. « Le professeur Syrbius, d’Iéna, a fait, d’après le statut 28 de la salle des livres, une leçon contre la Correspondance sur l’essence de l’âme (Briefwechsel v. Wesen der Seele), et il a voulu réfuter complètement les auteurs. » (Préface). — Voir de plus Acta eruditorum, Allemands, Xe partie, 7, p. 862-831. — Unschuldige Nachrichten, Ire année 1718, 28, p. 155 et passim.

49 [page 326]. Pour la première édit. de l’Hist. du mater., j’ai utilisé un exemplaire de 1723, de la bibliothèque de Bonn ; en ce moment je me sers d’un exemplaire acquis des ouvrages doubles de la bibliothèque de la ville de Zurich, première édition de 1713. — C’est uniquement pour simplifier que j’ai laissé dans le texte, sans les modifier, les passages cités mot pour mot, de telle sorte qu’ils répondent à l’édition de 1723, quand le contraire n’est pas expressément énoncé. Les indications plus spéciales de la pagination peuvent être négligées sans inconvénient, vu le peu d’étendue de l’ouvrage ; mais, pour tout ce qui est emprunté à la première édition, nous avons indiqué très-exactement les passages.

50 [page 326]. Dans mon exemplaire (voir la remarque précédente), une main inconnue a écrit : « par Hocheisser (sic) et Rœschel. »

51 [page 326]. Hobbes, dont l’influence sur tout cet opuscule est évidente, se trouve fréquemment cité ; il l’est dans la « joyeuse préface » d’un anonyme, comme il est dit dans la première édition, page 11, où l’on renvoie au Leviathan et à son supplément ; il l’est dans la première lettre, page 18, en ces termes : « On voit que l’opinion n’est ni nouvelle ni peu commune, car on la dit professée par beaucoup d’Anglais, dont je n’ai lu que Hobbes et dans une autre intention » ; il l’est dans la deuxième lettre, page 55 et 56, dans la troisième lettre, page 84. — Locke est mentionné dans la deuxième lettre, page 58 ; on trouve en outre dans la troisième lettre, page 70, cette pensée émanant sans aucun doute de Locke : « Je regarderais comme antichrétien de ne pas attribuer à Dieu assez de puissance pour que, de la matière composée de notre corps, il ne pût résulter un effet tendant à distinguer l’homme des autres créatures. » Il est souvent question du « mécanisme » des Anglais en général. — Spinoza est traité d’athée, à côté de Straton de Lampsaque, p. 42, 50 et 76. — On mentionne, p. 44, les « esprits forts » en France, d’après la relation de Blaigny dans le Zodiaque français.

53 [page 334]. Dans la 1re édition, p. 161, il fauterait lire : « Si par