Page:Lange - Histoire du matérialisme, Pommerol, 1879, tome 2.djvu/653

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en vue d’expliquer mécaniquement les spectres des éléments chimiques et le désaccord de la théorie avec l’expérimentation me confirmèrent dans l’opinion qu’il ne faut pas se représenter les éléments chimiques dans un espace à trois dimensions. »

38 [page 229]. Zöllner, Die Natur der Kometen, zweite Auflage, Leipzig, 1872, p. 299 et suiv.

39 [page 233]. Helmholtz, Ueber die Erhaltung der Kraft[1], dissertation physique, lue le 23 juillet 1847, dans la séance de la Société de physique de Berlin. Cette dissertation strictement scientifique, qui, après les travaux de Mayer, traita, la première en Allemagne, du principe de la conservation de la force, ne doit pas être confondue avec l’article populaire publié sous le même titre dans le 2e fascicule des conférences populaires scientifiques de Helmholtz. — Le passage cité se trouve, à l’endroit indiqué, p. 3 et 4,.

40 [page 235]. Voir. Atomlehre, zweite Auflage, chap. XV et XVI, particulièrement p. 105 et suiv., et, relativement au concept de force, p. 120.

41 [page 238]. Zöllner, Die Natur der Kometen, zweite Auflage, p. 334-337.

42 [page 240]. Helmholtz, Ueber die Wechselwirkung der Naturkräfte und die darauf bezüglichen neuesten Ermittelungen der Physik, Kœnigsberg, 1854 ; wieder abgedruckt in Helmholtz, populärwissenschaftlichen Vorträgen, II. 2, Braunschweig, 1871. — Le passage cité se trouve p. 27 (Popul. Vort. II, p. 118). — À la même conférence sont empruntées les notices suivantes sur les rapports de la chaleur et de la force mécanique dans l’univers.

43 [page 246]. J. R. Mayer, Naturwissenschaftliche Vorträge, Stuttgart, 1871, p. 28. Le passage appartient à une conférence, faite en juin 1870, sur les tremblements de terre. Nous n’avons pas besoin de faire ressortir davantage l’invraisemblance de la théorie qui y est exposée sur les tremblements de terre. — De plus amples détails sur le calcul d’Adams se trouvent chez Zöllner, Die Natur der Kometen, p. 469 et suiv. — Zöllner montre, passage indiqué, p. 472 et suiv., que déjà, dans l’année 1754, Kant avait prouvé que le flux et le reflux doivent ralentir le mouvement de rotation de la terre.

44 [page 246]. Tout récemment l’explication ici adoptée pour les variations de l’orbite de la comète d’Encke est devenue fort douteuse, les observations les plus exactes n’ayant pas fait reconnaître chez

  1. Mémoire sur a conservation de la force, précédé d’un exposé élémentaire de la transformation des forces naturelles, par H. Helmholtz, traduit par Louis Pérard ; Paris, Victor Masson, 1869. [N. d. t.]