tôt les nombreuses éditions, qui furent dirigées de son vivant à Constantinople, en Asie, là enfin où se trouvaient les débris de la race arménienne.
Le monastère fut entièrement achevé en 1740 par le fondateur lui-même, comme l’indique l’inscription arménienne et latine placée à l’entrée du réfectoire :
ՄԵՆԱՍՏԱՆՍ ԱՅՍ ԸՍՏ ԲՈԼՈՐԻՆ
ՇԻՆԵԱԼ ԵԴԵԻ Ի ՓԱՌՍ ՓՐԿԶԻՆ ·
ՅԱԲԲԱՅՈԻԹԵԱՆ ՍԵԲԱՍՏԱՑԻՈՅ
ՄԸԽԻԹԱՐԱՅ ՎԱՐԴԱՊԵՏԻՆ ·
Mais peu d’années après, que Mékhitar eut achevé l’œuvre, qu’il avait entreprise, une maladie, qui devait avoir des suites fatales se manifesta par des symptômes alarmants. Pendant trois ans le vénérable abbé supporta avec une angélique résignation les douleurs physiques provoquées par un mal incurable, et que l’art des médecins ne sut calmer. Enfin le 27 avril 1749, Mékhitar de Sivas, âgé de 74 ans rendit son