important et même une traduction italienne fort appréciée.
Saint Jacques de Nisibe[1], auteur d’homélies dogmatiques et morales.
Zénob de Clag[2], historien de la province de Daron.
Saint Nersès-le-Grand, auteur de quelques œuvres ascétiques.
Faustus de Byzance[3], qui, dans son histoire nationale, continue celle d’Agathange jusqu’en 390.
Saint Isaac-le-Grand, patriarche d’Arménie, qui traduisit avec tant de pureté, d’élégance, de fidélité l’Ancien-Testament, d’après la version des Septante.
Mesrob, surnommé Machdotz, à qui l’on doit, sans parler de l’invention des caractères, la version du Nouveau-Testament, faite sur le grec, l’eucologe[4] arménien.
Isaac et Mesrob furent les premiers, qui mirent en ordre le bréviaire arménien, le recueil d’hymnes, le rituel, le calendrier, la liturgie.