l’ouvrage de Nersès Chenorhali : c’est-à-dire la série chronologique des rois arméniens en Cilicie[1] jusqu’en 1280.
Jean Érzengatzi, le dernier des anciens docteurs de l’Église arménienne et même des auteurs classiques, a donné une explication de la grammaire arménienne ; un traité[2] d’astronomie ; panégyriques[3] de Saint Grégoire ; un livre de prières ; un commentaire[4] sur l’Évangile de Saint Mathieu ; de plus, des cantiques, des élégies, des hymnes.
Étienne Orbélian[5], archevêque de Sunik, auteur d’une histoire de cette province ; il est à remarquer que M.r Saint-Martin s’est trompé en intitulant : Histoire des Orbélians, une histoire des Géorgiens, imprimée à Madras, en 1776, qui n’est qu’une partie de l’histoire d’Étienne.
Grégoire VII Anavarzétzi, patriarche à Romcla, puis à Sis ; a composé un calendrier à la manière des Grecs et des Latins ; un martyrologe arménien, etc.