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TABLE DES MATIÈRES.
Pages
Inégalités périodiques du mouvement lunaire en longitude. Accord des coefficients donnés par la théorie avec ceux des Tables lunaires de Mason et de Bürg. Une de ces inégalités dépend de la parallaxe du Soleil. En déterminant son coefficient d’après les observations, on en déduit la valeur de cette parallaxe, telle que la donnent les passages de Vénus. Une autre de ces inégalités dépend de l’aplatissement de la Terre. La valeur de son coefficient, déterminée d’après les Tables de Mason et de Bürg, indique que la Terre est moins aplatie que dans le cas de l’homogénéité, et que son aplatissement est . N° 24 
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Inégalités du mouvement de la Lune en latitude. Accord des coefficients donnés par la théorie avec ceux des Tables de Mason et de Bürg. Une de ces inégalités dépend de l’aplatissement de la Terre. Son coefficient, déterminé d’après les observations, donne le même aplatissement que l’inégalité en longitude qui dépend du même élément. Ainsi ces deux résultats s’accordent à montrer que la Terre est moins aplatie que dans le cas de l’homogénéité. N° 25 
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Expression numérique de la parallaxe horizontale de la Lune. Son accord avec les Tables de Mason et de Bürg. N° 26 
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Chapitre V. — Sur une inégalité à longue période qui paraît exister dans le mouvement de la Lune 
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L’action du Soleil sur la Lune produit, dans le mouvement de ce satellite, une inégalité dont l’argument est le double de la longitude du nœud de l’orbite lunaire, plus la longitude de son périgée, moins trois fois la longitude du périgée du Soleil. La considération de la non-sphéricité de la Terre peut encore introduire dans le mouvement de la Lune deux autres inégalités, dont la période est à très-peu près la même que celle de la précédente, et qui, vu la position actuelle du périgée solaire, se confondent à peu près avec elle. Ces trois inégalités sont très-difficiles à déterminer par l’analyse : les deux dernières semblent devoir être insensibles. N° 27 
 308
La première est évidemment indiquée par les observations. Détermination de son coefficient. N° 28 
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Chapitre VI. — Des variations séculaires des mouvements de la Lune et de la Terre, qui peuvent être produites par la résistance d’un fluide éthéré répandu autour du Soleil 
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La résistance de l’éther ne produit d’équation séculaire que dans le moyen mouvement de la Lune, elle n’en produit aucune sensible dans les mouvements du périgée et des nœuds. N° 29 
 315
L’équation séculaire du moyen mouvement de la Terre, produite par la résistance de l’éther, est environ cent fois plus petite que l’équation correspondante du moyen mouvement de la Lune. N° 30 
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SUPPLÉMENT 
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