Page:Laporte - Émile Zola, 1894.djvu/12

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tion ; ils sont devenus la chair de mon cœur, l’âme de ma pensée et le calme foyer de ma vie ; ils seront le seul regret de ma mort.

Je ne peux, cher Monsieur, vous dire ma reconnaissance et mon amitié, comme je le voudrais et comme vous le méritez, mais je peux, vous voulez bien me le permettre, placer cette étude, l’aînée de plusieurs autres, je l’espère, sous la protection affectueuse de votre nom. Cela portera bonheur aux biographiés et au biographiste ; j’en ai si bien la conviction que je vous en remercie d’avance pour eux.

Agréez, cher Monsieur, l’assurance de l’affection reconnaissante de votre tout dévoué compatriote.

A. LAPORTE.

Je prie M. Catel, contrôleur des hospices et M. F***, dont la modestie m’impose de taire le nom, de recevoir, en acompte sur ma dette de reconnaissance, tous mes remerciments pour les intéressantes notes bibliographiques qu’ils m’ont communi-