Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/167

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Étouffant les bruits de la grève,
Tel que la mer haute et grondant,

Sanglots, chants railleurs, voix impures,
Ce cri les domine en tout lieu,
C’est, au fond de tous nos murmures,
La voix de votre amour, mon Dieu !