Louis XV, le maréchal de Saxe et le maréchal de Lowendal, comprenant l’injustice de cette exclusion, voulurent la faire abroger, mais ils ne purent y parvenir. Trente ans plus tard, le maréchal de Biron remit en question le projet de ses deux illustres devanciers. Louis XVI écouta favorablement sa proposition, et elle eut même un commencement d’exécution. Le maréchal de Biron obtint que plusieurs croix de Saint-Louis fussent données à des sous-officiers du régiment des gardes-françaises dont il avait le commandement.
L’Assemblée constituante, en 1789, comprit la valeur de cette institution, puisque ce fut le seul ordre qu’elle reconnut, avec le Mérite militaire ; mais la Convention fut plus radicale ; par un décret en date du 15 octobre 1793, elle supprima l’ordre de Saint-Louis. Il fut rétabli par Louis XVIII le 28 septembre 1814. La révolution de Juillet le supprima de nouveau ; mais ceux qui en étaient décorés furent tacitement autorisés à continuer d’en porter les insignes, d’après l’article 60 de !a charte : « Tous les militaires en activité de service, les officiers et les soldats en retraite conserveront leurs grades, honneurs et pensions. »
Pendant les règnes de Louis XIV, de Louis XV et de Louis XVI, l’ordre de Saint-Louis fut très-recherché. « Un officier, qui jouissait d’une pension considérable, ayant déclaré qu’il en ferait volontiers l’abandon en échange de la croix de Saint-Louis, Louis XIV lui répondit froidement : « Je le crois bien. » À une époque postérieure, un des plus habiles officiers de l’artillerie (Villepatour), couvert de blessures et chargé de récompenses, sollicita la croix de Saint-Louis. Le ministre lui envoya le brevet d’une nouvelle pension ; il la refusa. « Par un simple calcul arithmétique, dit-il, je voudrais savoir au juste le tarif et le prix du sang que j’ai versé ; mieux vaudrait l’ignominie. » (Considérations sur l’ordre de Saint-Louis et du Mérite militaire, par le général Oudinot [Paris, 1837.])
En quinze années, la Restauration distribua 12,180 croix de Saint-Louis ; un si large usage du droit de nomination diminua la valeur de la distinction ainsi prodiguée ; à tel point, qu’après la bataille de Navarin l’amiral de Rigny, sollicitant des récompenses pour les officiers qui s’étaient distingués dans l’action, demanda des croix de la Légion d’honneur, mais pas une seule croix de Saint-Louis.
Louis (ordre ce) [Hesse grand-ducale].
Cet ordre fut fondé le 25 août 1807 par le
grand-duc Louis Ier, mate ses statuts ne
lurent publiés et mis en vigueur que par
le grand-duc Louis II, le H décembre 1831.
Il se compose de cinq classes : les grandscroix,
les commandeurs de 1" classe, les
commandeurs de 2« classe, les chevaliers de
iro classe et les chevaliers de 2« classe. Le
but de l’ordre est la récompense des vertus
militaires et civiles. La décoration consiste
en une croix noire émaillée à quatre branches,
bordée de rouge ; au milieu se trouve,
d’un côté, un écusson rond émaillé rouge,
ayant un L entouré d’un cercle blanc contenant
ces mots : Fur Verdienste (Pour le mérite) ;
de l’autre côté est un écusson noir,
où on lit ces mots en lettres d’or : Golt, Ehrc,
Vaterland (Dieu, honneur, patrie), entourés
d’une couronne de laurier et de chêne, sur un
fond émaillé blanc. La croix est surmontée
d’une couronne royale en or, et s’attache à
un ruban moiré noir, avec deux larges raies
rouges des deux côtés. Les grands-croix mettent
ce ruban en écharpe de droite à gauche ;
ils portent en outre sur la gauche de la poitrine
une plaque à l’ayons d’argent, ayant au
centre, sur un fond noir entouré d’une couronne
de laurier et de chêne, la devise de
l’ordre. Les commandeurs de ire classe portent
le ruban en sautoir avec la plaque sur
le côté gauche. Les commandeurs de 2e classe
n’ont pas cette plaque, et les chevaliers portent
leur décoration à la boutonnière.
Louis (ORDRE ROYAL DE) [Bavière]. Le jour
de sa l’été, le 25 août 1827, le roi de Bavière
Louis institua un ordre portant son nom,
qu’il conféra à ceux de ses serviteurs et
fonctionnaires qui avaient accompli cette
année la cinquantième année de leur service.
Il le divisa, comme insignes, en croix et en
médaille, donnant la première aux officiers,
aux hauts fonctionnaires dans le civil et aux
sommités du clergé, la seconde aux serviteurs
placés dans des conditions moins élevées.
La croix est en or, à quatre branches,
avec angles sortants. Sur un médaillon éinaillé
blanc, qui occupe le centre de la croix,
se trouve le buste en or du fondateur. Sur
les quatre branches sont inscrits les quatre
mots : Ludwig, Kônig von Uaiern (Louis, roi
de Bavière). Sur le revers le médaillon est
entouré d’une couronne de chêne et porte, sur
fond blanc, ces mots en lettres d’or : Fur ebreuvolle jùnfzig JJiettsljahre (Pour cinquante
aiis de service honorable). Sur les quatre
branches est inscrite la date de la fondation :
Am 25 Auyust 1827 (le 25 août 1827). La médaille
en or reproduit les mêmes inscriptions
que la croix. Le ruban, réuni à la croix par
une couronne royale, est cramoisi et bleu de
ciel, plus large pour la croix que pour la médaille.
Il se porte à la boutonnière.
Louis et du Mérite civil (ORDRE DE SAINT-) [Lucques]. Avant la formation du royaume
d’Italie, il existait dans les duchés de Lucques
et de Parme un ordre de Saint-Louis, créé le
22 décembre 1836 par Charles-Louis de Bourbon,
duc de Lucques, qui devint duc de Parme
en 1847. Cet ordre servait à récompenser le
mérite civil aussi bien que le mérite militaire.
Le3 membres se divisaient en trois classes.
La lro classe portait au côté gauche de la
poitrine la croix en or émaillé blanc, avec un
ruban azur bordé de jaune orange ;.la 2° classe
portait la croix en argent émaillée blanc,
avec le même ruban ; la 3e enfui, la croix en
argent sans émail. Cette croix, à quatre
rayons, était formée par quatre fleurs de lis
allongées ; au centre, l’effigie en pied du roi
saint Louis, armé et cuirassé d or, sur un
écusson émaillé rouge ; de l’autre côté, un
écusson d’azur à trois (leurs de lis d’or. Le
grand-duc régnant était grand maître. L’ordre
fut réorganisé le 11 août 1849 par Charles
III de Bourbon, duc de Parme. Depuis la
conquête de ces provinces et l’unification de
l’Italie par Victor-Emmanuel, ces ordres ne
se distribuent plus.
Louis (Île Saint-). Cette île, enclavée dans
Paris, aboutit au quai de la Grève par le
pont Louis-Philippe ; au quai des Ormes par
le pont Marie ; au quai de la Tournelle parle
pont de la Tournelle ; à la Cité par le pont
Saint-Louis. L’île Saint-Louis, une ville de
Erovince dans Paris, comme l’a ’ appelée un umouriste, n’a pas une bien ancienne histoire. En 1614, à vrai dire elle n’existait pas. À sa place se trouvaient deux îles d’inégale grandeur, séparées par un bras de la Seine, qui passait a. peu près à l’emplacement do l’église actuelle (Saint-Louis-en-1’île). Ces deux îlots, connus depuis un temps immémorial sous le nom d’île Notre-Dame (la plus grande), et d’île aux Vaches (la plus petite), faisaient partie du domaine de l’évêque et du chapitre. Elles étaient couvertes de gazon, plantées de vergers et formaient en réalité la promenade particulière des chanoines. Deux ponts qui les reliaient à Paris furent emportés par une crue de la Seine en 1296, mais rétablis peu après. Les deux îles demeurèrent inhabitées jusqu’au règne de Henri IV, qui, le premier, eut l’idée de les comprendre dans l’arrondissement de la capitale. Mais la réalisation de ce projet, comme de bien d’autres, était réservée à son successeur. Un architecte, nommé Marie, proposa de faire un quartier habité de ces deux îles inutiles, de les joindre d’abord, et d’y élever des constructions. Une commission fut churgée d’examiner la proposition (1614), elle s’y montra favorable, et le projet fut adopté. Mais quand il s’agit d’exécuter, le chapitre résista énergiquement. Il fallut que deux arrêts du conseil fussent rendus pour lui faire lâcher prise. Marie se mit alors en devoir de remplir ses promesses. Les travaux marcheront avec une certaine activité. L’association de Marie avec les sieurs Le Regrattier et Poulletier (qui ont donné leurs noms à des rues de l’île) leur imprima une nouvelle impulsion. En 1623, l’entreprise fut cédée et abandonnée à un sieur Lagrange, secrétaire du roi ; mais la société Marie ne tarda pas à en reprendre la direction (1627). Alors les nouveaux habitants se plaignirent vivement des lenteurs apportées à l’achèvement des constructions, et ces plaintes furent si vives, que Marie et ses collègues se retirèrent. Les habitants unis en société se virent alors subrogés à tous leurs droits, et s’engagèrent à avoir fini en trois ans, ce qui eut lieu.
De ce jour, l’île Saint-Louis prit le caractère qu’elle a toujours conservé depuis : son isolement, son peu de communications lui ont donné, dès le début, ce calme plat, cette tranquillité paisible, qui ne se retrouve à Paris que dans le Marais. Indépendamment de demeures bourgeoises, l’île Saint-Louis contint longtemps une agglomération d’hôtels, remarquables pour la plupart. Nous citerons l’hôtel Lambert ; l’hôtel Lauzun, situé quai d’Anjou ; l’hôtel Brcionvilliers, bien dénaturé aujourd’hui, et qu’on voit presque en face de l’hôtel Lambert, à l’angle d’une arcade spacieuse. Cet hôtel, construit par Ducerceau, renfermait jadis des décorations et des tableaux fort remarquables, notamment quatre toiles de Poussin. De 1719 jusqu’à l’époque de la Révolution, il fut le siège du bureau des aides et du papier timbré ; il est aujourd’hui morcelé en logements séparés. Outre ces hôtels, l’île en contient un grand nombre, surtout sur le quai d’Anjou, qui datent du xvme siècle.
L’île Saint-Louis a son église, qui n’est guère remarquable que par un campanile extérieur, percé il jour, et par le tombeau du poète Quinault. Ce ne fut dans l’origine, de 1600 à 1622, qu’une modeste chapelle, érigée en paroisse en 1623. En 1702, on abattit la vieille nef, qui tombait en ruine, et le cardinal de Noailles posa la première pierre de l’église actuelle, dédiée à saint Louis, et terminée en 1725, d’après les plans de l’architecte Levau.
Nous avons indiqué en commençant les divers ponts qui relient l’île Saint-Louis aux quartiers environnants. Le pont Marie, achevé vers 1635, est leplus ancien de ces ponts. Le pont de la Tournelle, construit en 1020 environ, fut entraîné par le courant et les glaces en 1637. On le reconstruisit en bois, puis en pierre (1654-1056). Les autres ponts
Loti
sont de construction toute moderne. Nous donnerons seulement un souvenir au pont de Damiette, ’qui unissait la rue Saint-Louis-enl’île au quartier de l’arsenal, et qui, rompu à la révolution de 1848, ne fut pas reconstruit ; et à l’ancien pont Louis-Philippe, en bois et suspendu, ancien et célèbre rendez-vous des canotiers de la Seine ; un pont do pierre construit en 1862 le remplace, et les canotiers ont transporté leur quartier général ailleurs.
Louis (hôpital Saint-). Cet hôpital fut
construit dans la partie septentrionale de
Paris, du côté de Saint-Denis, par ordre de
Henri IV, et sur les plans de Claude Vellefaux,
de 1607 à 1611. Dès cette époque, il reçut
le nom de saint Louis, et il peut être
considéré comme type do l’architecture hospitalière
au xvne siècle. Au moment de sa
construction, il parut tellement parfait, que
les architectes les plus célèbres du temps le
citèrent comme un modèle. La disposition de
l’hôpital Saint-Louis est des plus simples et
des plus logiques : quatre grands corps de
bâtiments, décorés d avant-corps aux angles
et au centre, entourent une vaste cour carrée,
et renferment les salles de malades. Ces
bâtiments, destinés dans l’origine au traitement
des pestiférés, étaient entourés de doubles
cours, de jardins ; et d’enceintes de murailles
qui interceptaient toute communication
avec la ville ; autour du premier mur
d’enceinte s’appuyaient, construits symétriquement,
les logements des employés, des religieuses
et des domestiques attachés au service
des malades ; dans une seconde enceinte
se trouvaient les cuisines, la boulangerie et
divers autres services ; dans la crainte do la
contagion, les personnes employées à ces
services’ généraux ne pouvaient pénétrer
dans la première clôture pour y porter les
aliments et les provisions ; elles ne communiquaient
avec les habitants de l’intérieur qu’au
moyen d’un vaste tour, placé dans un pavillon
construit à cet effet. Les bâtiments
n’ont qu’un étage sur rez-de-chaussée ; les
Salles sont voûtées et très-élevées. L’hôpital
Saint-Louis était placé sous l’administration
et sous la direction de l’Hôtel-Dieu, qui, en
temps d’épidémie, y envoyait dos religieuses,
des chirurgiens et des domestiques. Quand
il ne régnait aucune maladie contagieuse, on
y envoyait quelquefois de3 convalescents. A
la requête du parlement de Paris, cet hôpital
fut quelquefois ouvert aux mendiants qui,
dans les années de grando disette, encom ?
braient la capitale. Vers le milieu du xvme siècle,
l’hôpital Saint-Louis fut affecté au traitement
des maladies qui, sans être épidémiques,
sont cependant contagieuses, telles que
la teigne, la gale, les scrofules, etc. Au moment
de la Révolution, l’hôpital Saint-Louis
fut appelé hospice du Nord ; il reprit depuis
son ancienne dénomination. Pendant le siècle
dernier, les appareils de balnéation de l’hôpital
Saint-Louis étaient des plus défectueux.
Aujourd’hui, le bâtiment des bains internes
de l’hôpital Saint-Louis rassemble tous les
éléments de la balnéation la plus perfectionnée ;
on y trouve les appareils hydrothérapiques
les plus variés, une salle de douches
médicinales, un cabinet de douches à vapeur,
une étuve pour les bains de vapeur, une
salle de fumigations, des appareils hydrofères ;
enfin, tous les genres de thérapeutique
par les eaux pures et minérales y sont
appliqués. Le service des buins internes de
l’hôpital Saint-Louis permet do donner de
1,200 à 1,500 bains par jour. Une hygiène
bien entendue a fait établir, en 1816, à rhôpitai
Saint-Louis un service de bains externes,
ouvert aux indigents des quartiers populeux
où se trouve situé cet établissement ;
ce service délivre, chaque jour, près de cinq
cents bains de toute nature, quelque coûteux
qu’ils soient, sur la production de cartes délivrées
par les bureaux de bienfaisance, ou
sur l’ordonnance des médecins de l’établissement.
Dans le pavillon qui servait primitivement
d’entrée d’honneur à l’hôpital et qu’on
appelle pavillon Gabrielle, on a disposé des
chambres particulières pour les malades
payants.
L’hôpital Saint-Louis, dont la principale entrée est située aujourdhui rue Bichat, compte 810 lits, savoir : G04 de médecine, 150 de chirurgie, 32 d’accouchement, et 18 berceaux. Le personnel administratif de cet hôpital comporte : l directeur, 1 économe, 5 employés subalternes, 2 aumôniers, 24 sœurs, 140 sous-employés et serviteurs. Le personnel médical comprend : 0 médecins, 2 chirurgiens, 1 pharmacien, 20 élèves internes, 37 élèves externes.
Louis d’Antin (ÉGLISE Saint-). En 1780, l’architecte
Brongniard construisit cette église
et un couvent de capucins dont elle dépendait.
Le-couvent fut supprimé k la Révolution ;
pendant quelques années ses bâtiments
servirent d’hospice ; puis on y établit un
lycée. L’église, petite, simple, mais d’une architecture
élégante et inspirée des bonnes
traditions de l’antiquité, fut érigée en succursale,
sous le titre de Saint-Louis ; elle n’a
qu’une nef et un seul bas côté. On y voit un
monument qui renferme le cœur du comte de
Choiseul-Gouffier, et un remarquable tableau
de Gassier, représentant saint Louis visitant
des soldats malades de la peste.
Louis (PONT Saint-). V. Paris.
Louis XV (place). V. Concorde (place de la).
Louis-Philippe (PONT). V. PARIS.
LOUIS-PHILIPPE (terre de), située dans l’océan Atlantique austral, au S. des Nouvelles-Shetland, par 630 et 64" de latit. S., et 59» et 610 de longit. O. Cette terre, découverte en 1838 par Dumont d’Urville, qui lui donna le nom du roi régnant, est inhabitablo et couverte de glaces.
Louis Lambert, étude philosophique, par H. de Balzac. V. études philosophiques.
Louis d’op (les), paroles et musique de Pierre Dupont (1846). Les Bœufs, les Louis d’or, Ma vigne sont les trois poèmes de Dupont les plus populaires. D’autres productions du même lyrique, bien supérieures, suivant nous, aux œuvres que nous venons de citer, ne jouiront jamais de cette popularité, précisément à cause de l’élévation des idées et du fini de la facture. Cette réserve faite, reconnaissons tout le mérite de cette vigoureuse et nette peinture dont le rouge personnage se détache sur un fond sombre, comme dans les intérieurs de Rembrandt, La pensée est belle, les vers coulants, faciles ; la musique est ample, sonore et entraînante.
Ier Couplet. Largo.
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Un soir,
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Près
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Un de ta meu - nia ■ ~» ■■’art
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ÊÉHI
rc, Pas* sait un hom-mede six
39Fp^p5£^g
pieds !
vait
la mousta- che gri - se, Le chnpoau
„ii t t • 2 u.
Br.Bj-l t-t MR 1> 6EEb^ : b=.-g
liÊg
rond, le man-tenu bleu, Dans ses clwitta-ble ou lo bon Dieu !
Sg=^fMg^
voix qui son-liait comme un
riais :
2fr
É=^
Et qui
fet^i
dait le son du cor, Mb dit : au
bois il faut me sut - vrel
Je te promets cent louis d’or !
DEUXIÈME COUPLET.
Je le suivis sans résistance. Par son œil rouge ensorcelé. Il m’aurait montré la potence Que je n’aurais pas reculé.