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qui, ayant appris ses visites clandestines ordonne à la trop hardie, trop fidèle confidente d'avoir à se retirer en Touraine (1633).

Que pouvait faire la remuante duchesse, là-bas, au fond de sa province ? Se faire aimer du vieil archevêque de Tours, Bertrand de Chaux (Mémoires de La Rochefoucauld). C’était peu divertissant ; elle préféra renouer de loin les confidences interrompues, conspirer avec Charles IV, la reine d'Angleterre, le roi d’Espagne et Anne d’Autriche. On n'a jamais bien connu le véritable but de la nouvelle trame ourdie par Marie de Rohan, trame qui fut encore découverte par les agents du ministre. Celui-ci en fit grand bruit. Laporte, le valet de confiance de la reine, fut jeté à la Bastille, et Anne d’Autriche elle-même faillit perdre la couronne ; elle ne se sauva qu’en signant une déclaration par laquelle elle se reconnaissait coupable de crimes d'État. Quant à Mme de Chevreuse, la fière et habile révoltée, on voulut la ramener, et ce fut elle qui posa les conditions, exigeant qu’on mît en liberté d'abord Châteauneuf, de Jars, tous ses amis, qui languissaient dans les cachets de Richelieu. De vraies notes diplomatiques s’échangeaient, lorsqu'une méprise changea et gâta tout. Il avait été convenu entre elle et Mme de Hautefort que celle-ci lui enverrait un livre d’heures relié en vert si tout allait bien, relié en rouge si elle devait pourvoir à sa sûreté ; ce fut le livre rouge qu’elle reçut. C’était le 6 septembre 1637. Elle monte en carrosse, affolée, pressée d’en finir, sans cesse regardant derrière elle, pour voir si elle n'était pas poursuivie. À neuf heures, quand la nuit est venue, elle échange contre des habits d'homme ses vêtements de femme, monte à cheval et court toute la nuit, suivie seulement de deux valets, et ayant perdu l'itinéraire et les lettres de créance que lui avait données l'archevêque de Tours. Arrivée le lendemain à Ruffec, près de Verteuil, elle écrit à La Rochefoucauld : « Monsieur, je suis un gentilhomme français, et demande vos services pour ma liberté, et peut-être pour ma vie. Je me suis malheureusement battu ; j'ai tué un seigneur de marque ; cela me force de quitter la France promptement, parce que l’on me cherche. Je vous crois assez généreux pour me servir sans me connaître. J'ai besoin d’un carrosse et de quelques valets pour me servir. » Le carrosse est mis à sa disposition, et ses nouveaux guides la conduisent jusqu'à une autre maison de La Rochefoucauld. S'étant reposée une nuit, elle renvoie ses domestiques, monte à cheval et se dirige vers la frontière.

Alors commence une course aventureuse, pleine de périls, inouïe pour une femme, et à chaque pas de laquelle Tallemant s’est plu à noter un trait singulier. Une nuit, elle était couchée sur du foin, dans une grange ; une bourgeoise de ce bourg-là passa fortuitement, la vit couchée sur ce foin, et s’écria. : « Voilà le plus beau garçon que je vis jamais ! Monsieur, dit-elle, venez-vous-en reposer chez moi ; vous me faites pitié. » Une autre fois, elle rencontra une troupe de cavaliers commandée par le marquis d’Antin, qui la connaissait, et elle n’eut que le temps de se dérober.

Au reste, pas une heure de découragement, pas une minute d'hésitation ; elle va de l’avant, toujours hardie, vaillante, même pleine de gaieté. Tallemant rapporte une chanson qu’on fit à propos de notre amazone ; elle y dit à son écuyer :

      La Boissière, dis-moi,
          Vais-je pas bien en homme ?
          - Vous chevauchez, ma foi,
          Mieux que tant que nous sommes...

Richelieu fut ému en apprenant le départ de Mme de Chevreuse. Il fit courir après elle Boispille et Viguier, mais il était trop tard ; le belle fugitive était déjà en Espagne, à Madrid.

Malgré l'amour de Philippe IV, 1’amitié d'Olivarès, l'admiration respectueuse de tous, Marie de Rohan resta peu de temps dans l’asile qu’e1le s’était choisi, et où la guerre avec la France rendait sa position trop délicate et difficile. Elle alla à Londres, où, comme à Madrid, elle fut entourée aussitôt d’un cortège d'adorateurs, parmi lesquels nous retrouvons d'anciennes connaissances, le comte de Holland, Graft et Montaigu.

Au printemps de 1638, tout à coup se répand la nouvelle de la grossesse d'Anne d’Autriche, et Mme de Chevreuse en profite pour adresser à la reine une lettre qui fut le point de départ de négociations entre Richelieu, qui avait besoin du duc de Lorraine et de son armée, en prévision de la guerre contre l'Autriche et l'Espagne, et la duchesse de Chevreuse, qui avait besoin de Richelieu pour quitter 1’Ang1eterre, où elle commençait à s'ennuyer, pour rentrer en France, à Dampierre, au Louvre, où l'appelaient le souvenir des temps heureux, le bruit, l'éclat, l'élégance, les fêtes. Cette négociation dura plus d'une année, elle finit par échouer, Mme de Chevreuse ayant voulu rester trop hautaine devant le hautain Richelieu.

Trois années après, en 1641, nous retrouvons Marie de Rohan à Bruxelles, toujours debout devant son ennemi Richelieu, et tramant une nouvelle conspiration, en même temps qu’elle nouait un nouvel amour. Le nouvel amour était celui d’Alexandre de Campion ; la nouvelle conspiration, celle du comte de Soissons. Richelieu, cette fois encore, sortit vainqueur.

L’année d'après (1642), nouveau complot contre la vie de celui dont personne, certes, ne méconnaissait la grandeur et le génie, mais qui était devenu odieux à tous par la dureté des moyens qu’il employait. Mme de Chevreuse eut-elle quelque part à la conspiration de Cinq-Mars ? Oui, sans doute, puisque la reine y prêta les mains.

Richelieu meurt le 4 décembre 1642, le roi meurt le 14 mai 1643 ; mais, avant de mourir, Louis XIII songe encore à celle qu’il appelait le Diable ; il redoute Mme de Chevreuse, et écrit : « Comme notre dessein est de prévoir tous les sujets qui pourraient, en quelque sorte, troubler le bon établissement que nous avons fait pour conserver le repos et la tranquillité de notre État, la connaissance que nous avons de la mauvaise conduite de la dame duchesse de Chevreuse, des artifices dont elle s’est servie jusques ici pour mettre la division dans notre royaume, les factions et les intelligences qu’elle entretient au dehors avec nos ennemis, nous font juger à propos de lui défendre, comme nous lui défendons, l'entrée de notre royaume... » Quelques jours après le 14 juin 1643, la bannie rentrait triomphalement en France et à la cour de la reine régente.

À cette époque, la duchesse de Chevreuse avait un peu plus de quarante-trois années. Ce n’était plus la toute gracieuse et ravissante jeune femme que nous avons connue ; mais c’était la femme aux traits réguliers, aux contours fermes, arrêtés en leur plénitude ; elle n’était plus jolie, elle était belle et plus que jamais résolue à se lancer dans les intrigues politiques.

En revenant en France, une seule pensée l'occupait, une pensée ambitieuse, non point pour elle, mais pour ses amis , pour ceux qui s'étaient attachés à sa mauvaise fortune, les Chateauneuf, les Vendôme, les La Rochefoucauld ; pour l’un, elle voulait un gouvernement, les sceaux pour l’autre, une intendance pour celui-ci, un ministère pour celui-là. Et certes, elle croyait y parvenir. N'était-elle pas la plus ancienne amie de la régente ? Et avec l'expérience qu’elle avait acquise si durement, ne pourrait-elle gouverner à son gré Anne d’Autriche ? Elle ne songeait pas à Mazarin, cet autre Richelieu, devant lequel elle fut bientôt obligée de courber la tête.

Alors elle recommence contre le nouveau ministre le duel qu’avait fait cesser la mort de Richelieu. Elle entre hardiment dans le parti des importants, entraînant avec elle sa belle-mère, la duchesse de Montbazon, Beaufort, La Rochefoucauld, La Châtre, Alexandre de Campion, le comte de Beaupuis. Non moins heureux que son prédécesseur, Mazarin déjoue la conspiration (1er septembre 1643), et Mme de Chevreuse, d'abord reléguée en Anjou, quitte bientôt et pour la troisième fois la France, accompagnée de sa fille Charlotte. Elle s'était embarquée à Saint-Malo pour gagner Darmouth, et l’on raconte que des navires de guerre du parti du parlement, croisant dans ces parages, prirent et amenèrent à l'île de Wight la barque qui portait Marie de Rohan et sa fille. Là, à cause de son amitié pour la reine d’Angleterre, on allait lui faire un mauvais parti, lorsque survint le comte de Pembrock. Elle l'avait connu autrefois, et, grâce à lui, elle put obtenir des passeports et gagner Dunkerque, puis les Pays-Bas.

Abattue un instant, elle reprend vite courage, et nous la voyons faire effort pour maintenir l’alliance, dernière ressource des Importants, entre le duc de Lorraine, l'Autriche et l'Espagne. En 1649, nous la retrouvons à Bruxelles ; c’est que la Fronde vient d'éclater, et qu’elle est accourue vers ses amis, leur apportant l'appui de l’Espagne et sa haine contre Mazarin.

Ce n’est point le lieu de retracer chacune des scènes de la Fronde ; mais, d’après M. Victor Cousin, montrons quel rôle y joua notre héroïne : « Elle a pris la principale part aux trois grandes résolutions qui expriment et résument l’histoire entière de la Fronde, depuis la guerre de Paris et la paix de Rueil : en 1650, elle fut d'avis de préférer Mazarin à Condé, et elle osa conseiller de mettre la main sur le vainqueur de Rocroy et de Lens ; en 1651, un moment d'incertitude de Mazarin, qui faillit se perdre dans ses propres finesses et dans une conduite trop compliquée, un grand intérêt, et l'espoir fondé de marier sa fille Charlotte avec le prince de Conti, la ramenèrent à Condé, et de là la délivrance des princes ; en 1652, les fautes accumulées de Condé la rendirent pour toujours à la reine et à Mazarin. Elle n’eut pas la folie de Retz d'imaginer un tiers parti en temps de révolution, et de rêver un gouvernement entre Condé et Mazarin, avec un parlement fatigué et l’incertain duc d'Orléans. Son instinct politique lui fit comprendre qu’après tant d'agitations un pouvoir solide et durable était le plus grand besoin de la France. »

Rendue, mais franchement, fièrement, au parti de la royauté et de Mazarin, nous voyons une fois encore, cependant, notre héroïne se mêler aux affaires, aux intrigues ; cela pour perdre, écraser Fouquet, et sur la ruine du coupable, mais malheureux surintendant, élever la fortune de Colbert, dont elle avait deviné le génie, et à la fille duquel elle donna son petit-fils.

Pour terminer cette biographie, nous ne pouvons mieux faire que d'emprunter à V. Cousin une page de son histoire de Mme de Chevreuse, une page délicate de style, élevée de sentiment :

« On dit qu’elle aussi, sur la fin de ses jours, elle ressentit l'impression de la grâce, et tourna vers le ciel ses yeux fatigués de la mobilité des choses de la terre. Successivement elle avait vu tomber autour d’elle tout ce qu’elle avait aimé et haï, Richelieu et Mazarin, Louis XIII et Anne d'Autriche, la reine d’Angleterre et sa fille l'aimable Henriette, Châteauneuf et le duc de Lorraine. Sa fille bien-aimée s'était éteinte entre ses bras, au milieu de la Fronde. Celui qui, le premier, l'avait, détournée du devoir, le beau et frivole Holland, était monté sur l'échafaud de Charles Ier, et son dernier ami, bien plus jeune qu'elle, le marquis de Laigues, l’avait précédée dans la tombe. Elle reconnut qu’elle avait donné son âme à des chimères, et se voulant mortifier dans le sentiment même qui l'avait perdue, l'altière duchesse devint la plus humble des femmes ; elle renonça à toute grandeur ; elle quitta son magnifique hôtel du faubourg Saint-Germain, bâti par Le Muet, et se retira à la campagne, non pas à Dampierre, qui lui eût trop rappelé les jours brillants de sa vie passée, mais dans une modeste maison, à Gagny, près de Chelles. C’est là qu’elle attendit sa dernière heure, loin des regards du monde, et qu'elle mourut sans bruit, à l'âge de soixante-dix-neuf ans, la même année que le cardinal de Retz et Mme de Longueville. Elle ne voulut ni solennelles funérailles ni oraison funèbre. Elle défendit qu'on lui donnât aucun des titres qu’elle avait appris à mépriser. Elle souhaita être obscurément enterrée dans la petite et vieille église de Gagny. Là, dans l’aile méridionale, près de la chapelle de la Vierge, une main fidèle et ignorée a mis sur un marbre noir cette épitaphe :

« Cy-gist Marie de Rohan, duchesse de Chevreuse, fille d'Hercule de Rohan, duc de Montbazon. Elle avoit épousé en premières noces Charles d'Albert, duc de Luynes, pair et connestable de France et en secondes noces Claude de Lorraine, duc de Chevreuse. L’humilité ayant fait mourir dans son cœur toute la grandeur du siècle, elle défendit que l’on fît revivre à sa mort la moindre marque de cette grandeur, qu’elle voulut achever d’ensevelir sous la simplicité de cette tombe, ayant ordonné qu'on l'enterrât dans la paroisse de Gagny, où elle est morte à l'âge de soixante-dix-neuf ans, le 12 aoust 1679. »


CHEVREUSE (la duchesse de, née de Narbonne-Fritzlar), née en 1785, morte en 1813. Dame du palais de l’impératrice, elle blessa Napoléon par un esprit d’opposition qui eût été plus digne si elle n’eût pas accepté les faveurs de la nouvelle cour, et finit par se faire exiler à 40 lieues de Paris. Elle se retira à Lyon, où elle mourut, sans que ses amis eussent pu obtenir son rappel de l’empereur, qui répondit à leurs sollicitations : Je ne veux pas d’impertinente chez moi. La duchesse de Chevreuse avait de l’esprit et de l’instruction. On a d’elle une nouvelle historique, intitulée François de Meutel (1807).


CHEVRIE (la), — petit pays de l’ancienne Ile-de-France, compris aujourd’hui dans le canton de Bonnières, département de Seineet-Oise. Il renfermait la petite localité de Viileneuve-en-Chevrie.

CHEVRIER, 1ÈRE s. (che-vrié, iè-re, chevri-é, i-è-re en poésie — rad. chèvre). Celui, celle qui mène paître les chèvres : Un chevrier des montagnes. Une jeune chevrièhe. Mien n’est mélancolique et doux comme la tyrolienne sauvage, chantée dans l’ombre par un pauvre petit chevrier invisible. (V. Hugo.)

On voit le chevrier qui ramène des bois Ses chèvres dont les pis s’allongent sous leur poids.

Lamartine. Appuyé sur son bâton noueux,

Veillant à son bercail, le chevrier joyeux Sur son humble roseau module un air rustique.

De Valokj.

— Agric. Chevrier, Variété de vigne cultivée dans la Dordogne.

Chevrier (chanson du), extraite du Val d’Andorre, poème de Saint-Georges, musique d’Halêvy. Le Val d’Andorre est une des œuvres les moins contestées-d’Halêvy, et, parmi les pages les plus remarquables de cette partition, se place en première ligne la chanson du Chevrier, que Bataille interprétait avec une si grande supériorité. La foule s’attache plus spécialement aux mélodies nettement dessinées et carrément accusées qu’aux morceaux d’ensemble. Pour le critique compétent, il écoutera avec impartialité cette plaintive et rustique mélopée, mais réservera toute son attention pour le finale du deuxième acte du Val d’Andorre, une des inspirations les plus chaudes et les plus vivantes d’Halêvy.

CHEV

7-1

Le vieux chevri - er Du beau pa - ys d’Anfin.

Le vieux chevri • er Du-benu pa-ysd’An s^^^mm^mm

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— le • c, Je sais lei se - creîs ; Et

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mes ar • rets : J’ai la coû-

. xiste en

Jai<ic l’es-pu-ran-co Pour les amoureuxl

DEUXIÈME COUPLET.

Soit noce ou baptême, Pour le vieux sorcier, 1 Sa place est la mémo

Au^coin du foyer. Aussi sa magie Vous prédit toujours, Enfants, longue vie ; Époux, longs amours Voilà le sorcier, etc.. CHEVRIER (François-Antoine), littérateur français, né à Nancy en 17*0, mort à Rotterdam (Hollande) en 1762, Cet écrivain satirique, ce pamphlétaire mordant et sans retenue, appartenait à une famille qui avait marqué dans la magistrature. Ses dispositions naturelles pour les lettres se révélèrent précocement, ce qui ne l’empêcha pas d’entrer au service militaire ; mais il le qjitta bientôt et se rendit à Paris, où il donna pleine satisfaction à son goût pour la satire et le théâtre. Son esprit très-caustique lui suscita tant d’ennemis, et, dans ses brochures, il respecta si peu la décence et l’honnêteté, qu’il dut finir par se retirer en Allemagne, puis en Hollande. Traqué à La Haye par les nombreux ennemis qu’il s’était faits, il se sauva à Rotterdam, où, dit-on, une indigestion le délivra des soucis de ce monde. Il n’avait que quarante-deux ans. C’était, on ne peut le nier, un homme d’es • prit ; mais sa verve indiscrète, intempérante, licencieuse n’épargnait personne et faisait une guerre acharnée aux sots, qui, malheureusement, ont souvent le dessus, car ils forment la majorité de l’espèce humaine.

Chevrier a laissé les ouvrages suivants : le Colporteur, histoire morale et critique (in-12) ; Almunach des gens d’esprit, ■par un homme qui n’est pas un soi (1762, in-12) ; Amusements des dames de Bruxelles (1763, 3 vol. in-12) ; les liidicutes du siècle (1762, in-12) ; Vie du fameux Père Norbert, ex-capucin, connu aujourd’hui sous le nom de l’abbé Platet (1762, în-12). Ces’ouvrages, réunis en 1774, portent le titre inexact de Œuvres complètes de Chevrier (Londres, 5 vol. in-12). On lui doit encore ; Recueil de ces dames (1745, in-12) ; Bibi (l’île, in-12) ; Voyage de Rngliano (1751, in-8o) ; Maga-Kou, histoire japonaise (1752, in-lï) ; Cela est singulier, histoire égyptienne (1752, in-12) ; Essai historique sur la manière de juger les hommes (1752, in-12) ; Mémoires pour servir à l’histoire des hommes illustres de Lorraine, avec une réfutation de la Bibliothèque lorraine de D. Calmet (1754, 2 vol. in-12) ; la Nouvelle du jour, comédie en un acte et en vers (Dresde, 1759, in-12) ; Histoire de la campagne de 1757 (in-8°) ; Histoire générale de Lorraine et de Bar (in-8°) ; Réponse du roi de Prusse à son. frère (1758, in-4o) ; Dialogue du prince royal de. Prusse avec le maréchal de Schwerin