Page:Lavignac - Le Voyage artistique à Bayreuth, éd7.djvu/364

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À partir d’ici, tous les principaux Leit-motifs se pressent dans un tel enchevêtrement que leur énuraération deviendrait fastidieuse ; au surplus, on les a rencontrés déjà assez souvent pour les reconnaître facilement, soit à la lecture, soit à l’audition. Parmi les plus fréquents, on peut pourtant appeler l’attention sur : Gloire à Tristan, La Solitude, puis, après un retour de Karéol, L’invocation à la nuit, La Mort libératrice

Un seul motif nouveau reste à signaler ; celui-ci aussi dépeint la Joie, mais il n’est pas, comme celui de L’Allégresse, spécialement attaché à un seul personnage ; il se rapporte aussi bien à la joie de Tristan qu’à celle de Kurwenal ; de Tristan lorsque, dans sa fièvre, il croit voir Iseult arriver, de Kurwenal lorsque celui-ci peut enfin, en frappant à mort le traître Mélot, venger son maître.

LA JOIE
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