I5ANS LES TERRES CALCAIRES; 50^
lonnèr.à travers l'eau diftillée , ou telle autre licjueur qu'elle renferme. Il faut que toutes les jointures des vailleaux foient exadenient luttées dans cette Expérience. La tubulure R doit être aufli bouchée avec un bon bouchon de liège ; on parvient , par ce moyen , à entretenir dans la bouteille I uns atmoiphère de fluide élaftique beaucoup plus condenfé que l'air de ratmofphere, & la liqueur fe charge plus promptement &: en plus grande abondance que s'il n'y avoit pas de compreiVion. Il eft néceffairede déboucher de temps en temps la tubule R, de peur que les vaifî féaux ne crèvent , ou que les vapeurs trop con* denfées ne fe failentjoar à travers les, jointures j il y a toujours, d'ailleurs, une portion aiTez con- fidcrable du fluide élafl:ique dégagé des eiïervef- ccnces, qui n'cll: point fufceptible de fe combi- ner avec l'eau , cc auquel il efl: néceflaire de don* ner de temps en temps une iiTue»
EXPÉRIENCE XL
Comparer la pefanteiir fpécifique de l'eau imprégnés de fluide élajhque à celle de Veau dlfiillée.
J'ai pris de l'eau difl:illce très-chargée de fluide I .élaftique , par le procédé dccric dans la précé^
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