DES EFFERVESCENCES ET DES REDUCT. 2^J traie en poudre grofiiere jufques au tiers , ou jurques à inoirié tout au plus de fa capacité, ôc on y lutte l'entonnoir G de la même manière que dans les figures y & 7.
On emplit d'un autre côté d'eau pure une bouteille O ; on la renverfe dans un feau de fayance V VF F également plein d'eau , & on la pofe fur un petit guéridon ou trépied de bois ti ôné dans Ton milieu , ^ qui doit être lefté avec du plomb pour éviter qu'il ne fumage; on éta- blit enfuite la communication entre la bouteille A & la bouteille O , par le moyen des deux tuyaux coudés El & TXLM.
S S efl: un tuyau qui s'ajufte à frottement avec beaucoup d'exadtitude aux deux tubes lE 3c TX« Ce tuyau SS a un robinet en R , qui s'ouvre 6c fe ferme à volonté,
Lorfque toutes les jointures ont été exacte- mznt luttées avec du lut gras recouvert de veiïies mouillées, on introduit dans la bouteille A, par l'entonnoir G , affez d'acide vitriolique aftoibli pour produire une quantité de fluide élaftiquQ. au moins capable de remplir le vuide des vaif- feaux , & de chaffer l'air commun qui s'y ren- contre. Cela fait , on bouche l'orifice de l'enton* noir^ eiYçç le boucbqn P , fig, 5 5 oa l'empUi;
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