des effervescences et des reduct. 3 ip Conclusions de ce Chapitre.
Il refaite des Expériences contenues dans ce Chapitre , premièrement, qu'il exifte un rapport prefque parfait entre le fluide élaftique dégagé de la rédudion du minium , & celui dégagé des effervefcences , & qu'ils produifent l'un & Tautre les mêmes phénomènes fur l'eau de chaux , fur la terre calcaire, fur les corps allumés, & fur les animaux.
Secondement , que ces deux fluides font com- posées l'un & l'autre , 1°. d'une partie fixable fufceptible de fe combiner avec l'eau , avec la chaux, &:c. 2°. d'une autre partie beaucoup plus difficile à fixer, fufceptible jufques à un certain point , d'entretenir la vie des animaux , & qui paroît fe rapprocher beaucoup , par fa nature, de l'air de l'atmofphère.
Troifiémement , que cette portion d'air com- mun efl: un peu plus confidérable dans le fluide élaftique dégagé des réductions métalliques, que dans celui dégagé de la craie.
Quatrièmement , qu'il paroit confl:ant que c'eft dans la partie fixable , que réfide la propriété nuifible de ce fluide , puifqu'il efl: d'autant moins funefte aux animaux , qu'il en a été dépouillé
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