ONA BRULE DU PHOSPHOPxE. 3yî
EXPÉRIENCE II.
Effet de Vair dans lequel on a bridé du phofphcre j fur les bougies allumées.
J'ai fait pafiTer une autre portion du même aîr d^ns un bocal étroit, & j'y ai plongé une bougie allumée ; elle s'y efi: éteinte fur le champ , comme dans le fluide élaftique des efrervefcences & des rédudions. Ayant rallumé la bougie à plufieurs reprifes , elle s'y eft conflamment éteinte. J'ai obfervé cependant que cette Expérience ne pou- voit pas être répétée un aufli grand nombre de fois avec cet air qu'avec celui des efFervefcences & des rédudions ; ce qui me porte à croire qu'il fe mêle plus aifément & plus promptement avec Fair de l'atmofphère.
EXPÉRIENCE III.
Mélanger une portion de fluide élajïique des eferref"
cences ^ avec Vair dans lequel on a brûlé
du phofpkore.
J'ai été curieux, relativement à des vues donc je rendrai compte dans un autre temps , d'ob- ferver fi le mélange d'un tiers de fluide élaftique
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