r^ PRéCTS HISTORIQUE
eft.fuivant lui, plutôt palliatif que curatif, puî& qu'il ne rétablit pas , comme l'air fixe, les parties dans leur état naturel.
Indépendamment des expériences qu'on vient de citer , qui font eiïentiellement liées à la théo- rie de M. Macbrlde , fon Traite en contient un grand nombre d'autres , dont on va citer les principales ;
. .i°. Le vuide de Boyle accélère le dégage- ment de l'air fixe dans les mélanges fermenta-
^yor". Les terres calcaires ont la propriété d'ac-- célérer la putréfacfLion.
Mig^i.La chaux produit fur les matières animales ^ii effet tout particulier ; elle les décompofe en lâuj enlevant l'air fixe qu'elles contiennent , 6c elle produit en cela un effet analogue en quelque feçon à la putréfadion. .^. ...;,..
i:- 4°. L'huile ne s'unit à l'afeli fixe qu'autant que ce dernier eft privé d'air,, fi l'on fait tomber la vapeur , foit de deux corps en effervefcence » fôit d'un mélange fermentatif quelconque fur une diffolution de favon. L'air fixe, qui fe dé- gage , fe combine peu-à-peu avec l'alkali fixe di^ favon, en mêiue temps l'huile , devenue librç, vient nager à la furface, j^-
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