Page:Lavoisier - Traité élémentaire de chimie.djvu/480

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apt? D1P.mên.m:ca·és on some. mas Srts. Cüllp par le calorique, il efl clair que ce fel fera très~peu foluble à Veau froide, 8: qu’il le fera beaucoup, au contraire, à Peau chaude; tel eiî le nitrate de potalle, 8: fur-tout le mu- riate oxigéné de potaffe. Si un autre (el au contraire ell à la fois peu foluble dans Peau, 5: peu foluble dans le calorique, il fera peu foluble dans Peau froide comme dans Peau chaude; 8: la différence ne fera fnas très-com MM'` iidérable; c’eft ce qui arrive au fulfate de chaux. On voit donc qu’il y a une relation nécelï faire entre ces trois chofes 5 folubilité d’un fel dans Peau froide , folubilité du même fel dans Peau bouillante, degré auquel ce même fel fe liquêfie par le calorique feul 8: fans le fecours de Peau ; que la fehrbilité diun fel à chaud Sc à froid eff d’aut:·.m plus grande qu’il ell plus foluble par le calorique, ou , ce qui revient au même, qu’il ell fufceptible de fe liquélicrà un degré plus inférieur de l’échelle du thermomètre. Telle eff en général la théorie de la folution des fels.( Mais jc n’aî pu me former encore que des appercus généraux, parce qué les faits par- ticuliers manquent , 8: qu’il tfexiile point allez dexpérieuces exaêlcs. La marche à luivre pour M completter cette partie de la chimie ell iimple; _ elle conüfle â rechercher pour chaque (el ce