Page:Lavoisier - Traité élémentaire de chimie.djvu/565

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nv GAz H¥D1=.oGÉNB· yu des détails de Pexpérience que nous avons faire auec cet appareil , dans les mois de janvier 8:: de février I7S;, en préfence d’une grande par- tie des thembres de l’Académîe. Nous avons tellement multiplieles précautions, que nous avons lieu de la croire exaête. D’après le rê('ul.· tat que nous avons obtenu , I00 parties (iiüëlü , en poids font compofées de 8; Cïoxygène SZ de If d’hydrogène. Il en encore un autre appareil pour la com- lvufiion , avec lequel on ne peut pas faire des — expériences 2uHî exaâes qu’avec les prêcédens, mais qui préiente un réfultat très-frappant 8: t très-propre à être prêfentê dans un cours de Phylique 8: de Chimie. Il conlîlîe dans un (`e,r·~ pendu EF, plmzché IX, fgzzre 5, renïermé dans un ieau de métal A B CD. A la partie fu- périeure E du tuyau de ce (`erpentin , on adapte une cheminéeG H compofée d’un double tuyau; [avoir, de la continuation du (`erpentin & (Yun ` tuyau de fer-blanô qui Penvironne. Ces deux tuyaux laiiïènt entr’eux un imervalîe d’un pouce environ , qu’on remplit avec du fable. _ A Pextrémiré inférieure du tuyau intérieur K, · s’adapte tm tube de verre, 8: au—deH'ous une lampe à eFprit—de-vin LM , à la Quinquet. Les chofes aiufi préparées , Sc, la quantité . d’alk0ol contenue dans la lampe ayant été bien