Page:Lavoisier - Traité élémentaire de chimie.djvu/571

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OXÉDATION DU MERCURE. .5*17 portion d’air qu’on reçoit Tous une cloche dans _ l’appareil pneumato-chimique , alin de pouvoir en déterminer la quantité. Je niai point multiplié, autant que je Pau- rois delire, ces oxîdations , 8: je n’ai obtenu de réfultats fatisfaifans qu'avec Pétain : le plomb ne m’a pas bien réulli. Il. feroit à fouhaiter que quelqu’un Voulût bien _reprendre ce travail 8: tenter Poxidation dans diliérens gaz; il feroit, . je crois , bien dédommagé des peines attachées à ce genre d’expériences. Tous les oxides de mercure étant l`u[`cepti-· _ bles de fe revivîfier fans addition , 8<`de refri- tuer dans (on état de pureté Poxygène qtfils ont abforbé , aucun métal n’étoit plus propre à de· venir le ('niet dfexpériences très-concluantes (ur la calcination 8: Yoxidation des metaux. J ’avois d’abord tenté , pour opérer Poxidation du mercure dans les vailleaux fermés , de remplir une coruue de gaz oxygène , d’y introduire une petite portion de mercure & d’adapter à fon col une vellie à moitié remplie de gaz oxygène, · comme on le voit reprélenté planche IV , fg. 12. Je faifois enfuire chauffer le mercure de la cornue; 8: en continuant très-long tems Yopération , j’étois parvenu ài en oxidex: une petite portion , 8: a former de l’oxide rouge qui uageoit à la furfacez, mais la, quantité de ` _ Kkiij