23 et 30 décembre 1780 : Sur les Récitations dramatiques ou choix des principales tragédies du grand Corneille, etc.
17 février 1781 : sur une Traduction envers de l’Arioste.
16 juin 1781 : sur l’Architecture, poème en trois chants par M. Maillier, architecte.
14 juillet 1781 : sur le Nouveau-Monde, poème épique par M. le Suire.
? 25 mars 1782 : sur deux Traductions de Quinte-Curce. Dès lors, jusqu’au 8 juillet 1786, il n’y a plus rien dans le Mercure qui ressemble de près ou de loin à du Rivarol.
2° Lettre de M. le Président de *** à M. le Comte de *** sur le Poème des Jardins.
Premiers jours de juillet 1782 (voir les Annonces littéraires du Mercure, le 20 juillet) ; anonyme. Œuvres complètes, t. II, p. 193-206 ; la note de Sabatier, p. 201, est une addition des éditeurs.
3° Le Chou et le Navet.
Automne de 1782 (voir les Annonces littéraires de YAlmanach des
Muses pour Vannée 4183, p. 294) ; publié avec une réimpression du
précédent opuscule en une toute petite brochure de 35 pages sous ce
titre : Lettre Critique sur le Poème des Jardins, suivie du Chou et du
Navet, par M. le comte de Barruel ; en épigraphe :
Sifflez-moi librement, je vous le rends, mes frères. Voltaire.
à Amsterdam, et se trouve à Paris chez les marchands de nouveautés,
MDGCLXXXII. Œuvres complètes, t. III, p. 311-314 ; je ne sais où les
éditeurs ont pris les deux vers qu’ils citent dans une note. Ils disent
qu’ils les empruntent à l’édition originale : je possède cette édition,
qui est aussi à la Bibliothèque Nationale, et les deux vers cités n’y
sont pas. 11 est vrai qu’au dire de Cubières le Chou et le Navet fut
imprimé et réimprimé « plus de trente fois » ; Rivarol a pu, une fois
ou l’autre, y glisser quelque variante. Il y eut notamment une édition
des deux mêmes opuscules sous ce titre : Suite du Poème des Jardins
ou Lettre d’un président de province à M. le Comte de Barruel…, 1782,
in-8 de 28 pages (voir Quérard).
4° Lettre à M. le Président de ***, sur le Globe aérostatique, sur les Têtes parlantes, et sur Vètat présent de V opinion publique à Paris ; — pour servir de suite à la Lettre sur le Poème des Jardins. En épigraphe : Audax Japeti Genus, Hor. Paris, chez les marchands de nouveautés, 1783, in-8.
La Lettre est datée du 20 septembre ; anonyme. Je reproduis le titre tel que le donne Cubières qui avait l’édition originale sous les yeux, et qui a réimprimé la Lettre à la fin de sa Vie d’Antoine Rivarol. L’exemplaire de la Bibliothèque Nationale, également daté 1783