Page:Le Goffic - Les Romanciers d’aujourd’hui, 1890.djvu/276

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Mais j’accorderai une place à part aux nouvellistes de la Vie parisienne. On ne sait point qui ils sont ; ils signent de pe-

    en jaune ; Lucien-Victor Meunier, avec Plaisirs en deuil ; Jules Lermina, avec ses Histoires incroyables ; Alain Beauquesne, avec les Amours cocasses ; Charles Grandmougin, avec ses Contes d’aujourd’hui ; Léon Allard, avec Les Vies muettes ; Guillaume Livet, avec les Récits de Jean Féru ; Edmond Thiaudière, avec La Proie du néant ; Gaston Bergeret, avec ses Contes modernes ; Gabriel Marc, avec Lindetta ; Georges Moynet, avec Entre garçons ; Auguste Erhard, avec ses Contes panachés ; Léon Deschamps, avec ses Contes à Sylvie ; Charles Diguet, avec les Contes du Moulin-Joli ; Pierre Gauthiez, avec La Danaé ; Charles Lexpert, avec ses Nouvelles gauloises ; Camille Bruno, avec En désordre ; Paul Chetelat, avec Le Monde où l’on s’abuse ; Noël Blache, avec Les Clairs de soleil ; Fernand Boissier, avec Le Galoubet; Jules de Marthold, avec Casse-Noisette et les Contes sur la Branche ; H. de Chennevières, avec les Contes sans « qui » ni « que », etc., etc. Encore n’ai-je point parlé des nouvelles de certains maîtres, Daudet, France, Bourget, d’Aure-