Page:Le Goffic - Poésies complètes, 1922.djvu/118

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


C’est Penmarc’h. Aux fils d’or de leur bonnet collant
Les fermières d’Argoll ont pris plus d’un galant ;
Tréguier vante à bon droit sa coiffe épiscopale ;
 
Le lin vierge sied seul aux filles du Moustoir :
Là-bas, où le Goayen élargit son flot pâle,
Les guetteuses de bris ceignent un bandeau noir.