Page:Le Goffic - Poésies complètes, 1922.djvu/128

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Mais cette marée
De genêt roussi
Soudain nous transit
D’une horreur sacrée.
 
Et, brusque ferveur,
La croix de détresse
À nos yeux se dresse
Comme un mât sauveur !