Aller au contenu

Page:Le Messager Évangélique, Vol. 6, 1865.pdf/211

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
211
Les souffrances de Christ.

craintes ne sont pas Christ. Quelle que soit la voie, la condition, les circonstances d’un pécheur ; il ne trouvera, après tout, jamais la paix qu’en Christ. Ce n’est pas le bourbier du désespoir qu’adorait l’âme affranchie de Bunyan, c’était uniquement le Christ qui l’en avait tiré pour toujours.[1]

Puisse l’Esprit de vérité amener l’âme de mon cher lecteur, qu’il soit simplement auditeur ou prédicateur de l’Évangile, à sentir le prix et la valeur des vérités du pur Évangile !

« Tel que je suis — pécheur rebelle,
Au nom du sang versé pour moi,
Au nom de ta voix qui m’appelle,
Jésus, je viens à toi !

Tel que je suis — dans ma souillure,
Ne cherchant nul remède en moi,
Ton sang lave mon âme impure,
Jésus, je viens à toi !

Séparateur


Les souffrances de Christ pour la Justice.

Extrait des Notes sur le Lévitique, chap. II, traduites de l’anglais de C.-H. M. et sous presse.

Dans l’étude de « l’offrande du gâteau, » type de la parfaite humanité de Christ, l’auteur considère, d’abord, les matières dont elle se composait : la fleur de farine, l’huile, l’encens et le sel ; puis, les ingrédients qui en étaient ex-

  1. Voyez : « Voyage du chrétien, » par J. Bunyan.