craintes ne sont pas Christ. Quelle que soit la voie, la condition, les circonstances d’un pécheur ; il ne trouvera, après tout, jamais la paix qu’en Christ. Ce n’est pas le bourbier du désespoir qu’adorait l’âme affranchie de Bunyan, c’était uniquement le Christ qui l’en avait tiré pour toujours.[1]
Puisse l’Esprit de vérité amener l’âme de mon cher lecteur, qu’il soit simplement auditeur ou prédicateur de l’Évangile, à sentir le prix et la valeur des vérités du pur Évangile !
« Tel que je suis — pécheur rebelle,
Au nom du sang versé pour moi,
Au nom de ta voix qui m’appelle,
Jésus, je viens à toi !
Tel que je suis — dans ma souillure,
Ne cherchant nul remède en moi,
Ton sang lave mon âme impure,
Jésus, je viens à toi !

Les souffrances de Christ pour la Justice.
Dans l’étude de « l’offrande du gâteau, » type de la parfaite humanité de Christ, l’auteur considère, d’abord, les matières dont elle se composait : la fleur de farine, l’huile, l’encens et le sel ; puis, les ingrédients qui en étaient ex-
- ↑ Voyez : « Voyage du chrétien, » par J. Bunyan.