pattes, comme il l’avait surprise, le poussa sur
le dos et le déchaussa. Elle l’étendit alors tout
de son long sur le tapis et vint s’asseoir sur sa
poitrine, les jambes autour de son corps, faisant
face à la queue.
Elle ne remuait plus, mais il sentait ses regards fixés sur la queue, dont une de ses mains finit par s’emparer pour la caresser délicatement dans une demi-masturbation. Peu à peu elle se coula lentement, lui frôlant la poitrine, la ceinture, le ventre avec les fesses ; elle se remit à quatre pattes et ses lèvres happèrent la queue, la tortillant de la langue, des dents, l’excitant de plus en plus.
Tout à coup il se rappela sa recommandation et murmura :
— Irène, Irène, viens, ou je ne réponds plus de moi.
Tel un arc qui se détend, elle s’allongea dans ses bras avec un tressaillement d’indicible volupté, les yeux extatiques, en disant :
— Je meurs, tire, tire-moi donc !
La queue était entre ses cuisses, elle enfilait le conin, l’inondait d’une ondée brûlante ; une fougueuse sensation la tordit sous les violentes